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Considérations sur l'épidémie.

Article publié le 20 octobre 2020

Loin de moi l’intention de polémiquer, mais je pense que certaines choses doivent être dites concernant cette épidémie. Je vais vous les dire sans aucune aménité, sans aucune haine, mais bien au contraire avec beaucoup d’amour, d’amour de la vie, d’amour de la liberté, afin que chacun puisse se faire une idée plus précise de cette épidémie. J’ajoute que je tiens ces propos depuis le début de l’épidémie (voir mes articles précédents).

Première considération.

Savez-vous que notre corps est constitué de cellules humaines, de bactéries et de virus ? Savez-vous qu’il y a plus de cellules bactériennes que de cellules humaines, dans notre corps ? Tout ce petit monde, cellules humaines, bactéries et virus, vit en parfaite symbiose pour assurer le fonctionnement optimal de notre corps. Cela veut dire que sans les bactéries et les virus, il n’y a pas de vie possible. Pour veiller à ce que tout se passe bien nous avons un système de surveillance qui veille à ce que chacun reste à sa place et assure le travail qui lui est imparti. Ce système de surveillance, nous l’avons appelé système de défenses immunitaires.

Savez-vous que certaines de nos cellules possèdent sur leur membrane des récepteurs qui attirent les virus, leur permettent de se fixer sur la cellule et d’injecter leur ARN ou ADN dans la cellule humaine ? Ainsi, ces cellules humaines facilitent l’intégration virale, ceci sans aucune conséquence néfaste pour notre corps et toujours sous la surveillance de notre système de défenses immunitaires.

Mais me direz-vous, il y a des virus pathogènes. C’est exact, mais est-ce le virus qui est pathogène par nature ou est-ce nous qui le rendons pathogène ? Pourquoi le même virus , suivant la personne, peut-il être mortel ou totalement inoffensif ? C’est bien l’être humain qui fait la différence suivant l’état de ses défenses immunitaires, qui dépend de son état de santé physique et psychologique. Si notre système de défenses immunitaires vient à être déréglé, la dysbiose s’installe. L’harmonie entre les cellules humaines, les bactéries et les virus n’existe plus. Plus notre système de défenses immunitaires est atteint, plus la dysharmonie s’intensifie et la maladie apparaît. Nous sommes responsables de nos maladies, par nos modes de vies et surtout par nos croyances. Il est donc important de veiller au bon fonctionnement de notre système de défenses immunitaires, ce qui implique de savoir ce qui lui est favorable et ce qui lui est défavorable.

Sont favorables à nos défenses immunitaires : une alimentation saine, l’agriculture biologique, l’air pur, l’eau pure, un bon sommeil, de l’exercice physique quotidien mais aussi et surtout le rire, la bonne humeur, l’humour bienveillant, les relations sociales, l’amour, les câlins. Tout cela a été prouvé par de nombreuses études scientifiques.

Sont défavorables à nos défenses immunitaires : la malbouffe (aliments industriels), la sédentarité, la pollution mais aussi et surtout le stress, l’angoisse, la peur, la colère. Tout cela a aussi été prouvé par de nombreuses études scientifiques.

Si votre corps est en parfait équilibre (homéostasie), tout va bien et vos défenses immunitaires sont au top. Ce constat peut mettre un doute sur l’efficacité des vaccins, car je ne voie pas comment un vaccin peut rétablir notre équilibre intérieur, notre homéostasie qui est le seul moyen de rester en bonne santé.

Face à l’épidémie due au coronavirus, les scientifiques, pris de panique ( pourquoi, c’est à eux qu’il faut le demander) ont pris des décisions pour le moins contestables, que ce soit le confinement, la distanciation sociale et le port du masque qui sont tous les trois extrêmement néfastes pour nos défenses immunitaires comme nous allons le voir.

Le confinement.

Une étude publiée par la revue scientifique « The Lancet » a montré que le confinement est source de stress, de peur, d’angoisse, de colère et même de symptômes de stress post-traumatique. Le confinement est donc tout à fait néfaste. Par ailleurs, en décidant de confiner toute la population, il y a forcément des gens non contaminés qui se sont retrouvés enfermés avec des gens contaminés, au risque d’aggraver l’épidémie. De plus, les scientifiques par leurs nombreuses interventions dans les médias ont entretenu une psychose totalement injustifiée, aggravant ainsi les effets néfastes du confinement. On a vu une hystérie médiatico-politico-scientifique s’installer et elle perdure encore.

La distanciation sociale.

La distanciation sociale est une aberration pour l’homme qui est avant tout un être relationnel, qui a besoin de ces relations pour être heureux et ainsi booster ses défenses immunitaires. Prenons l’exemple des personnes âgées qui ont été les plus touchées, Ces personnes se retrouvent souvent seules, que ce soit à leur domicile ou en maison de retraite, elles sont coupées de la vie. Leur seule motivation pour continuer à vivre, c’est la visite de leurs enfants, petits enfants et amis. La décision a été prise de supprimer les visites dans les maisons de retraite et de confiner chacun dans sa chambre. Imaginez le désarroi, la tristesse, la solitude de ces personnes âgées, d’autant plus qu’elles n’avaient pour seule distraction la télévision qui rabâchait les mêmes informations alarmistes sur l’épidémie. Imaginez l’effet qu’a pu avoir le discours du président de la république annonçant que l’on était en guerre, sur ces personnes affaiblies, désorientées qui elles ont connu la guerre et toutes ses atrocités. Regardez le bas niveau de mortalité en Grèce où les maisons de retraite n’existent pas

. Le port du masque.

Savez-vous que nous avons en quelque sorte un masque en nous, bien plus efficace que le masque chirurgical ? En effet, nous avons sur les parois de nos cavités nasales des cellules ciliées et un mucus qui éliminent de l’air circulant la poussière et les germes (virus et bactéries). Les cils repoussent le mucus vers le pharynx où il sera détruit. Un masque supplémentaire estil nécessaire ? Il faut aussi parler des conséquences sociales du masque. Je voudrais citer les propos tout à fait pertinents d’un lecteur du journal Ouest-France dans un courrier qu’il a adressé au journal. Il conclue ainsi son propos « Bref, alors que déjà depuis plusieurs décennies, les relations sociales s’étaient distendues et que l’individualisme progressait, le port du masque dans la durée ne fait que renforcer voire conforter ces tendances. Ainsi, si nous n’y prenons pas garde et si la situation perdurait encore de longs mois, il y aurait de quoi prendre peur, non pas du virus, mais de l’état de la société qui va en sortir car une communauté , quelle qu’elle soit, qui ne se reconnaît plus, qui s’enferme sur elle-même et qui n’a plus de vie sociale est vouée à l’échec voire peut tendre vers la tragédie et courir à sa fin. »

Le test PCR.

Comme nous l’avons vu précédemment, il est tout à fait normal de trouver des virus ou des débris de virus dans les cavités nasales, là où on fait le prélèvement pour le test. Mais cela ne signifie pas que vous êtes malades. Le test PCR est un test très sensible et il détecte la moindre trace de virus vivant ou mort, qui se trouve dans nos cavités nasales, donnant ainsi des faux résultats positifs. L’inventeur de ce test, le prix Nobel de chimie 1993 Kary Mullis, contestait que sa méthode puisse servir à détecter une infection virale et à en mesurer la gravité. Ce test basé sur l’amplification de séquences génétiques peut donner des faux positifs dus à la présence d’impuretés ou de débris protéiques. En ce début d’octobre, on se base sur ce test qui n’est pas du tout fiable, pour nous dire que l’épidémie est en pleine recrudescence. Or plus on fait de tests, plus le nombre de faux positifs augmente. Ceci est visible dans les grandes villes, là où on teste le plus.

Les chiffres de la mortalité.

Comparons les chiffres de la mortalité pour la période allant du mois de janvier au mois d’août:

2015 401595 décès

2016 391570 décès soit 10025 de moins qu’en 2015

2017 403700 décès soit 12130 de plus qu’en 2016

2018 411131 décès soit 7431 de plus qu’en 2017

2019 409900 décès soit 1231 de moins qu’en 2018

2020 429100 décès soit 19200 de plus qu’en 2019

Nous avons donc cette année 19200 décès de plus qu’en 2019. Où sont les 30000 décès imputés au coronavirus ? Il semblerait bien que beaucoup de décès ont été déclarés Covid 19 à tort . La surmortalité la plus importante se situe aux mois de mars et avril et ne concerne pratiquement que les personnes âgées sur lesquelles le confinement, la distanciation sociale et l’hystérie médiatico-politico-scientifique ont eu le plus d’impact néfaste.

Comparons maintenant les chiffres de la période allant du mois de mai au mois d’août :

2014 177463 décès

2015 183138 décès soit 1263 décès de plus qu’en 2014

2016 185141 décès soit 5675 décès de plus qu’en 2015

2017 185771 décès soit 630 décès de plus qu’en 2016

2018 188375 décès soit 2604 décès de plus qu’en 2017

2019 190700 décès soit 2325 décès qu’en 2018

2020 191200 décès soit 500 décès qu’en 2019

Au vu de ces chiffres, il semble évident que l’épidémie est finie depuis le mois de mai. Comment tous les alarmistes de tous poils ont-ils pu nous faire croire que le virus continuait de circuler ? Malheureusement, à l’approche de l’hiver, la même hystérie médiatico-politico-scientifique reprend de plus belle et va entraîner les mêmes conséquences. A nouveau, on interdit les visites en maisons de retraite, on prive les résidents de sortie. On recommence les mêmes erreurs qui entraîneront les mêmes conséquences.

La vie ce n’est pas vivre confiné, ce n’est pas porter un masque en permanence, ce n’est pas avoir peur de l’autre en permanence. Non la vie c’est aimer, c’est le rire, c’est le sourire, ce sont les relations sociales, c’est faire la fête, toutes choses qui sont favorables à notre équilibre et donc à nos défenses immunitaires. Il n’y a qu’une seule énergie qui soit profitable à notre équilibre intérieur, qui nous fasse évoluer dans le bon sens, c’est l’amour. Alors, aimez la vie, aimez les autres, faites vous des câlins, souriez, allez aux spectacles quand il y en a, faites vous du bien. Comme le dit le journal France Soir, un des rares journaux à remettre en question la gestion de cette crise, nous sommes en plein délire collectif et il est temps d’en sortir avant un désastre dévastateur. Continuer. à faire peur avec toutes les conséquences néfastes que cela entraîne sur notre santé est totalement irresponsable. Pour ma part je choisis la vie et ne change rien à ma façon de vivre, sauf de porter le masque là où c’est obligatoire par respect pour ceux qui sont pris dans ce délire collectif, pour ne pas leur ajouter de la peur. Je termine en disant que j’ai plus de 64 ans et que je suis pharmacien.


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