- blotdomi
Coronavirus : et si nous avions tout faux?
Il me semble que dans la gestion de cette épidémie, on oublie de tenir compte de l'état psychologique de la population, qui est un facteur très important qui contribue à l'ampleur actuelle de l'épidémie.
L'être humain n'est pas qu'un corps physique, c'est aussi, et avant tout, un esprit,
Depuis une année, nous avons à faire face à de nombreuses causes de stress : peur du virus, sentiment de solitude, stress généré par le confinement, peur de la pauvreté, peur de perdre son emploi, peur pour ses proches.
Tout ce stress est accentué par l'hystérie médiatico-politico-scientifique. Rappelons-nous la déclaration de guerre du Président de la République, les décomptes des morts dans les médias, la surenchère des médias, le défilé des scientifiques dits "alarmistes" dans tous les médias, l'absence des scientifiques dits "rassuristes" dans les médias.
Il faut savoir que le stress nous est très utile pour faire face à un danger, mais là où il est très dangereux, c'est quand il devient chronique, ce qui est le cas actuellement.
En toute fin, le stress chronique peut entrainer la mort
La réponse du corps au stress se déroule en 3 phases. L'organisme, instinctivement, se met en mode mobilisation générale.
Pendant la première phase dite phase d'alarme, les glandes surrénales secrètent de l'adrénaline et différentes substances pour mettre le corps en état de réagir immédiatement face au danger.
La deuxième phase est dite phase de résistance : de nouvelles substances sont secrétées comme le cortisol, la dopamine, la sérotonine. Tout est fait pour que le corps soit en état de réaction maximal.
Normalement, ces deux phases sont bénéfiques puisqu'elles nous permettent de faire face au danger efficacement. Une fois la cause du stress disparue, tout revient à la normale, le corps retrouve son fonctionnement normal.
Mais si la situation stressante dure trop longtemps sans que la personne puisse trouver une solution ou si la situation stressante se répète trop souvent pour les capacités de la personne, l'organisme finit par passer à la troisième phase.
Cette troisième phase est dite phase d'épuisement. Les mécanismes de réaction fonctionnent en permanence engendrant une dépense d'énergie considérable : la personne est épuisée, des désordres métaboliques et physiologiques s'installent, certains organes s'affaiblissent. Les mécanismes physiologiques en cause dans le stress chronique sont nombreux et contribuent à un grande variété de dérèglements physiologiques: accélération du vieillissement, déficit nutritionnel, problèmes de santé mentale, aggravation de maladies déjà existantes et un affaiblissement important des défenses immunitaires.
De nombreuses études ont montré les effets néfastes du stress sur les défenses immunitaires.
Depuis un an, nous subissons tous ce stress chronique. C'est un stress continu, alimenté par les médias, par les politiques et les mesures prises pour gérer l'épidémie ( le confinement est lui-même un source de syndrome de stress post-traumatique).Les médecins hospitaliers participent également à l'amplification de ce stress ; je comprends que cela n'est pas facile pour eux, mais en dramatisant la situation et en réclamant sans cesse un confinement, ils ne font qu'aggraver le stress ambiant et favorisent l'épidémie.
(En ce qui concerne les hôpitaux, la situation dramatique où ils se trouvent est due à l'Etat qui, voyant que le nombre de personnes âgées est en constante augmentation et donc qu'ils seraient de plus en plus nombreux à être hospitalisés, il fallait augmenter le nombre de lits et non pas le diminuer).
Face à ce stress chronique, certains résistent mieux que les autres, mais nous sommes tous touchés. Les études sur la santé mentale montrent qu'un bon quart de la population est en état de dépression.
Quand est arrivé le mois d'octobre, qui est le début des viroses respiratoires épidémiques, nous étions tous affaiblis pour faire face aux virus, plus ou moins suivant les personnes. Le résultat est qu'il y a effectivement une surmortalité importante, une contamination qui ne faiblit pas depuis le mois d'octobre.
J'entends dire que la moyenne d'âge des personnes hospitalisées diminue et qu'on voit des patients qui étaient en bonne santé. Le stress chronique touche d'abord les personnes âgées qui sont plus fragiles, mais comme ce stress perdure des personnes plus jeunes commencent elles aussi à devenir moins résistantes. Par ailleurs, en ce qui concerne les patients en apparence en bonne santé avant d'être contaminés, il faudrait regarder dans quel état psychologique ils étaient.
Dans mes précédents articles, j'ai démontré l'inutilité des mesures prises puisque qu'à mon avis elles ont contribuées à l'aggravation de l'épidémie. N'en déplaise à Mr le Ministre de la santé, comparons les chiffres de mortalité en France avec ceux de la Suède qui n'a pas eu recours au confinement :
-France : 1402 décès par million d'habitants
- Suède : 1307 décès par million d'habitants ( chiffres pris sur Worldometers)
Cette épidémie a pris une importance qu'elle n'aurait jamais du avoir. Les simples gestes de se laver les mains et d'isoler les malades étaient largement suffisants. Il faudra bien qu'un jour, les scientifiques nous expliquent pourquoi ils on paniqués à ce point face à ce virus dont on connaissait pourtant bien la famille (ou avaient-ils des informations qui pouvaient faire craindre le pire?), générant ainsi un gigantesque effet nocebo mondial, bien relayé ensuite par les médias et les politiques. Que dire des modélisations qui prévoyaient 400 000 voire 600 000 décès. Tout a été fait pour dramatiser la situation.
Il serait bien que France Télévision organise enfin un vrai débat entre les scientifiques "alarmistes" et les scientifiques "rassuristes" pour que toute la lumière soit faite sur cette épidémie.
En attendant il nous faut continuer à vivre. N'oublions pas que chacune de nos pensées, chacune de nos émotions a des effets sur notre corps:
L'amour, les relations sociales, les contacts, le rire, le contact avec la nature, la liberté sont très favorables pour nos défenses immunitaires.
Le stress, la peur, la solitude, l'anxiété, la colère, l'enfermement sont extrêmement défavorables pour nos défenses immunitaires.
C'est du simple bon sens. Chacun peut le ressentir. Toutes les mesures liberticides prises et la dramatisation à outrance faite par les médias sont des facteurs d'accélération de l'épidémie.
Le coronavirus étant un virus saisonnier, l'épidémie devrait disparaitre fin avril, début mai, comme ce fut le cas en 2020. Il suffit de regarder les chiffres de la mortalité pour la période allant du mois de mai au mois d’août :
2014 177463 décès
2015 183138 décès soit 1263 décès de plus qu’en 2014
2016 185141 décès soit 5675 décès de plus qu’en 2015
2017 185771 décès soit 630 décès de plus qu’en 2016
2018 188375 décès soit 2604 décès de plus qu’en 2017
2019 190700 décès soit 2325 décès de plus qu’en 2018
2020 191200 décès soit 500 décès de plus qu’en 2019
Ces chiffres montrent bien qu'l n'y a aucune différence entre 2020 et les années précédentes, pas trace de surmortalité due à l'épidémie.
Alors de grâce, mesdames et messieurs les scientifiques, les journalistes et les politiques, à partir du mois de mai, laissez-nous en paix, laisser nous-profiter de la vie, laissez-nous le temps de reprendre des forces et de reprendre gout à la vie.
A propos de la vaccination.
Personnellement, je pense qu'il manque de preuves scientifiques concernant l'efficacité des vaccins.
Je vais prendre l'exemple de Mr Paul. Ce monsieur est âgé de 80 ans, est diabétique, a très peur du virus et soufre de solitude dans sa maison de retraite. Il cumule donc plusieurs causes qui vont diminuer fortement l'efficacité de ses défenses immunitaires. On sait qu'avec l'âge une dégérescence immunitaire s'installe. Le diabète est un facteur de comorbidité et nous avons vu que la peur et la solitude affaiblissent les défenses immunitaires.
Mr Paul est contaminé et il fait une forme grave de la covid19 et en décède. Ses défenses immunitaires n'étaient pas en capacité de neutraliser le virus.
Le vaccin aurait-il pu sauver Mr Paul? Je ne le pense pas. En effet si le virus n'a pas entrainé de réactions de son système immunitaire, comment le vaccin pourrait-il le faire, à moins de rajeunir Mr Paul d'une trentaine d'années, de guérir son diabète et de lui remonter le moral?
Le meilleur moyen d'éviter une contamination, c'est de faire confiance à son corps; Il est tout à fait capable de nous protéger à condition d'en prendre soin, donc de faire attention à son alimentation, de faire un minimum d'exercice physique, d'avoir un bon sommeil, de faire attention à son mental et de se faire du bien.
Je termine cet article par une histoire de lapins.(extrait du livre "Le corps quantique" du Dr Deepak Chopra :
"Une étude de l'université de l'Ohio sur les maladies cardiaques, réalisée dans les années 1970, consista à administrer à des lapins une alimentation hautement toxique et riche en cholestérol, destinée à boucher leurs artères, reproduisant ainsi les effets d'un tel régime sur l'homme.. Des résultats uniformes commencèrent à paraître dans tous les groupes de lapins, à l'exception d'un seul dans lequel on pouvait noter une réduction de 60% des symptômes observés.
Rien dans la physiologie de ces lapins ne pouvait expliquer leur accoutumance étonnante au régime, jusqu'à ce que l'on apprenne par hasard que l'étudiant qui se chargeait de nourrir ce groupe de lapins aimait les caresser et les dorloter. Avant de les nourrir, il les prenait un à un contre lui avec tendresse pendant quelques minutes: curieusement, ce simple geste semblait permettre à ces animaux de surmonter la toxicité du régime. Des expériences répétées, dans lesquelles un groupe de lapins était traité de manière neutre tandis que les autres étaient choyés, donnèrent des résultats similaires."
La science moderne a découvert que chaque émotion ressentie dans notre corps y provoque des changements chimiques qui reflètent nos sentiments. Les émotions positives sont bénéfiques, les émotions négatives ne sont pas bénéfiques.
" Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l'esprit " Platon
