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Covid 19 : confiance, responsabilité, liberté
Et c'est reparti !!! Un nouveau variant ( omicron ) pointe le bout de son nez et l'hystérie médiatico-politico-scientifique reprend de plus belle. On recommence les mêmes erreurs. L'impensable se prépare : vacciner les enfants.
De l'importance de la Confiance et de la Responsabilité.
Lorsqu'on parle d'avoir confiance, on pense généralement à la confiance que l'on accorde à notre cerveau, c'est à dire à notre intelligence, à notre volonté. C'est certainement une grave erreur.
L'homme est la victime de sa cérébralité, de son intellectualité et il a, malheureusement, pris l'habitude de considérer son corps comme une sorte de machine n'ayant pour seul rôle que d'obéir aux ordres du cerveau.
Le fait est que si l'homme veut marcher, courir, nager, fabriquer quelque chose, son corps est prêt à le servir fidèlement à condition qu'il ait pris soin de le maintenir en bon état et ne l'ait pas soumis à toutes sortes d'excès, de pollutions ou de détériorations.
Notre corps n'est pas une machine. Notre corps est une société de cellules vivantes qui communiquent, qui s'entraident, qui fonctionnent en harmonie et qui sont intelligentes. Nos cellules peuvent accomplir toutes sortes de miracles pourvu qu'on les respecte.
Extrait du livre « Le fabuleux pouvoir de vos gènes » de Deepak Chopra et Rudolph E. Tanzi :
« Partout dans le corps, une cellule met en pratique le secret de la vie :
– elle sait ce qui est bon pour elle et œuvre dans ce sens
– elle sait ce qui est mauvais pour elle et l'évite
– elle subvient à ses besoins vitaux d'un instant à l'autre, pleinement absorbée dans sa tâche
– elle surveille le bien-être de toutes les autres cellules
– elle s'adapte à la réalité sans résistance ni jugement
– elle puise dans les ressources les plus profondes de l'intelligence naturelle. »
C'est le fonctionnement harmonieux de nos cellules qui nous maintient en vie. Pour ce faire, nos cellules ont besoin d'un environnement sain, d'une nourriture saine et cela est de notre seule responsabilité.
Si nous faisons tout ce qui est nécessaire pour que nos cellules soient saines et heureuses, nous pouvons faire confiance à notre corps car il sera en capacité de nous maintenir en vie.
Mais dans notre société moderne, les humains ont si peu confiance dans leur corps ( peut-être parce qu'ils sont plus ou moins conscients qu'ils ne le respectent pas) qu'à la moindre alerte ils se précipitent à la recherche d'une aide extérieure jugée plus compétente que leur propre chair pour restaurer leur équilibre organique.
Cette attitude irresponsable est sans cesse encouragée par la religion médicaliste et la propagande de l'industrie pharmaceutique. Ajoutons la création de la Sécurité Sociale qui a accentué la déresponsabilisation des êtres humains pour leur santé.
Ainsi, la conjugaison des trois facteurs que sont :
1- la perte de confiance dans les formidables capacités de notre corps pour nous maintenir en vie,
2- la confiance exagérée accordée aux "pseudo-miracles" de la cléricature médico-pharmaceutique,
3- l'absence de responsabilité pécuniaire et le renvoi des dépenses de maladie à un système collectiviste, soit disant solidaire, qu'est la sécurité sociale,
tout cela ne peut que conduire à une détérioration constante de la santé publique et à une multiplication des maladies dégénératives de toutes sortes.
Si les citoyens se considéraient comme vraiment responsables de leur santé, s'ils apprenaient les bases du fonctionnement de leur corps, s'ils ne déléguaient pas leur responsabilité à des médecins-chimistes et s'ils ne se reposaient pas inconsciemment sur le remboursement des frais de maladie par la collectivité anonyme, ils adopteraient des modes de vie beaucoup plus sains, ils se préserveraient au maximum des pollutions et ils exigeraient des industriels et des pouvoirs publics des mesures drastiques pour la préservation de leur environnement.
Quand les gens sont convaincus que leur corps n'est pas fiable ou bien que l'environnement n'est pas sûr, alors, au lieu de faire appel à leurs multiples aptitudes, au lieu d'explorer l'environnement physique et l'environnement mental, ils commencent à rétrécir leur réalité, à restreindre leurs talents et à surcontrôler leur environnement. Ils deviennent des êtres apeurés, et les personnes qui ont peur ne veulent pas de la liberté, qu'elle soit mentale ou physique. Elles veulent une protection, un ensemble précis de règles. Elles veulent qu'on leur dise ce qui est bien ou mal. Elles ont tendance à avoir des modes de comportement compulsif et sont en quête de guides politiques, scientifiques ou religieux, qui règlent leur vie à leur place. C'est ce qu'a générer l'hystérie médiatico-politico-scientifique qui sévit depuis le début de cette crise sanitaire.
Du fonctionnement de notre système de santé.
La santé est une préoccupation importante pour tout individu, Un Ministére de la Santé a donc été créé. Mais c'est plus un ministère des maladies puisqu'en fait il s'occupe presqu'exclusivement des maladies, de la médecine allopathique et de son financement, laissant quelques miettes à la prévention et aux thérapies naturelles et alternatives.
Le coût de la médecine moderne étant élevé et ne pouvant que s'élever sans cesse davantage en fonction du progrès des techniques, nous avons organisé un système de protection sociale obligatoire très étendu et complet, pour permettre à chacun de pouvoir se faire soigner. Ce qui paraissait, au départ, une bonne idée s'avère avoir des effets pervers comme nous le dit le philosophe Pierre Lance :
« Notre système dit de protection sociale consiste à taxer le travail, l'invention, l'initiative, la prévoyance, le courage, la vigilance et la sobriété, afin de subventionner l'insouciance, l'imprudence, l'irresponsabilité, l'intempérance et la gloutonnerie. Un biologiste vous dira qu'un tel système de sélection négative maintenu au sain d'une population durant plusieurs générations ne peut aboutir qu'à la dégénérescence globale de cette population et à sa disparition du monde vivant à plus ou moins brève échéance. »
Pour bien comprendre le fonctionnement de la sécurité sociale, prenons un exemple :
Vous possédez votre maison, vous devez l'entretenir pour qu'elle reste habitable. Vous pouvez aussi ne pas faire cet entretien, c'est votre droit, mais au bout de quelques années la maison sera insalubre. Vous ne pourrez plus financer les travaux indispensables devenus trop importants. Alors, vous décidez d'aller voir vos voisins et vous leur demandez de financer vos travaux. Je doute que les voisins soient d'accord. Pourtant c'est le principe de la sécurité sociale. Vous n'entretenez pas votre corps et vous demandez à la collectivité de prendre en charge les soins pour le remettre en état.
Un moyen de responsabiliser les personnes à tout faire pour se maintenir en bonne santé pourrai être d'accorder une remise sur leurs cotisations aux personnes qui n'ont eu aucun soins dans l'année. C'est une piste, mais une réforme de la protection sociale est devenue indispensable. Les coûts toujours plus importants a conduit depuis quelques années les gouvernements a une gestion comptable des hôpitaux, dont on voit les conséquences aujourd'hui.
Pourtant, seuls sont remboursés les soins prodigués par la médecine allopathique qui devient dans l'esprit de tous la seule médecine efficace puisque la seule remboursée, alors que pour beaucoup de petites pathologies, des remèdes naturels efficaces, beaucoup moins chers sont disponibles.
L'Ordre des médecins et celui des pharmaciens sont chargés de veiller à écarter de la médecine tout patricien suspect d'utiliser des thérapies non conventionnelles ou de diffuser des substances curatives non officiellement admises. Les Ordres veillent en outre à poursuivre en justice tout thérapeute indépendant pour exercice illégal de la médecine ou pour exercice illégal de la pharmacie, sans aucune considération de ses compétences scientifiques ni des résultats positifs éventuellement obtenus par lui auprès des patients.
L'industrie pharmaceutique, avec ce système, fait des profits considérables ce qui incitent naturellement les grands laboratoires chimiques, à multiplier leurs spécialités et à soutenir financièrement la propagande constante des merveilleux progrès de la médecine. Ils peuvent de surcroît, grâce à la manne publicitaire distribuée par eux aux journaux et aux antennes, obtenir de ceux-ci qu'ils s'abstiennent de toute remise en cause de l'efficacité des thérapies proposées.
Ces laboratoires ont en outre la haute main, grâce à leurs visiteurs médicaux, sur la formation permanente des médecins,
Les études médicales développent systématiquement la bactériophobie pasteurienne et négligent quasi totalement certaines matières primordiales comme l'alimentation, l'environnement, l'affectivité, la psychologie, la spiritualité, l'amélioration de l'immunité naturelle, etc...On privilégie constamment la disparition ou l'atténuation des seuls symptômes par inoculation d'agents chimiques ou antiseptiques agressifs, sans se préoccuper des effets secondaires ou de la détérioration du terrain organique.
Le développement de la technologie, de l'urbanisation, de la bureaucratie, de la fiscalité, de l'information radio-télévisée, des réseaux sociaux, diffusant partout les nouvelles de catastrophes, guerres, crimes ou épidémies augmentent considérablement l'anxiété des individus et, par voie de conséquence, risquent d'engendrer de nombreuses pathologies psychiques ou psychosomatiques, entrainant ainsi une consommation de plus en plus importante de somnifères, antidépresseurs et autres substances psychotropes
Devenus dépendants de la médecine et de la pharmacie par le double effet des remboursements de frais médicaux et d'une propagande permanente, les individus déstabilisés par les agressions de la société technologique et les pollutions de toutes sortes se tournent spontanément vers la médecine allopathique et ses pseudo-miracles..
Il est vrai que la chirurgie a fait d'énormes progrès. Les avancées technologiques (IRM, scanner…) permettent de meilleurs diagnostics. Mais qu'en est-il des traitements.? La médecine allopathique nous propose des médicaments camoufleurs de symptômes, responsables de nombreux effets secondaires et des vaccins qui n'ont jamais prouvé leur efficacité, C'est une réponse très minimaliste qui ne tient aucun compte des véritables causes des maladies. Il est certainement utile d'atténuer les symptômes quand ils deviennent trop importants ou néfastes, mais cela est loin d'être suffisant.
La maladie nous dit qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans notre vie. C'est le moment de se poser les bonnes questions. Pourquoi suis-je tombé malade? Qu'est-ce que j'ai fait pour en arriver là? Tout un travail de réflexion est nécessaire pour comprendre pourquoi nous sommes tombés malades.Toute une liste de questions apparait :
Mon alimentation est-elle saine?
Est-ce que je fais suffisamment d'exercice physique?
Mon sommeil est-il réparateur?
L'environnement où je vis est-il pollué?
Suis-je stressé, un peu, beaucoup ou beaucoup trop?
Quelles sont mes relations avec les autres ; tolérantes, bienveillantes ou conflictuelles?
Faites le point de toutes ces questions et agissez en conséquence pour rectifier ce qui est possible.
Sinon votre état de santé restera le même et la maladie reviendra inéluctablement sous la même forme ou sous une autre forme.
Notre médecine dite "moderne" est encore basée sur la croyance simpliste de l'existence de virus et de bactéries pathogènes par nature. C'est ne rien comprendre à la vie et à l'évolution. La vie est apparue avec les micro-organismes. Ces micro-organismes se sont rassemblés, ont fusionnés, ont échangés du code génétique, ont collaborés pour créer toujours plus de vie, toujours plus de biodiversité.
Extrait du livre « Tous entrelacés » de Mr Bapteste Eric, Directeur de recherche au CNRS
« Les partenaires impliqués dans le collectif ayant conduit aux cellules eucaryotes (dont font partie les cellules humaines) telles que nous les connaissons sont une archée, sans aucun doute, une bactérie dont dérive la mitochondrie, et qui sait peut-être encore d'autres contributeurs bactériens cachés. »
Francis Cance, psychologue : " Les virus et les bactéries sont des coexistants et des cohabitants du système de la vie, depuis le début de la phylogenèse ( histoire évolutive des espèces). Je ne crois pas que la vie, qui a fait ses preuves depuis des milliers d'années, soit assez stupide pour se créer des ennemis dans le but de s'autodétruire."
Les bactéries et les virus sont à l'origine de la vie dans toute sa diversité: végétale et animale. Les micro-organismes évoluent sans cesse, apportant la vie même dans les milieux les plus extrêmes. Notre corps est visité en permanence par des millions de bactéries et de virus, dont certains dits pathogènes, et pourtant nous ne sommes pas malades en permanence. Les micro-organismes ne détruisent pas la vie, bien au contraire ils la favorisent. La théorie des virus et bactéries pathogènes par nature est en totale contradiction avec les dernières découvertes sur leur rôle dans l'évolution.
Nouvel extrait du livre « Tous entrelacés » de Mr Bapteste Eric, Directeur de recherche au CNRS (à lire absolument pour comprendre le rôle des virus et bactéries et le fonctionnement du système immunitaire):
« Les animaux sont à la fois animaux et microbes et présentent un grand nombre de caractéristiques morphologiques, physiologiques, comportementales, développementales, écologiques et évolutives non pas purement animales mais coconstruites à l'interface entre ces deux univers biologiques. Un tel collectif associant un organisme animal et ses microbes est désormais connu sous le nom d'holobionte. »
« On pourrait penser qu'il est peu de systèmes biologiques plus intimes, plus singuliers que le système immunitaire de chaque individu, ni de plus importants puisque, suppose t-on de longue date, il permet de combattre les odieux microbes qui nous assaillent. Curieusement, les études sur l'holobionte sont en train de renouveler en profondeur ces deux conceptions pleines d'apparent bon sens. Dune part, le système immunitaire est coconstruit par les microbes ; il n'est donc pas le seul fait d'un organisme animal. D'autre part, sa fonction principale ne serait pas de tenir à l'écart nos ennemis minuscules, mais d'accueillir au mieux nos microscopiques partenaires intérieurs. »
Comment comprendre l'épidémie de covid.
Les premiers cas de cette pneumopathie sont apparus en Chine à Wuhan. C'est une mégapole de 11 millions d’habitants, une des plus peuplées et des plus polluées au monde. La promiscuité et la sensation d’étouffer y sont particulièrement pénibles. Ce milieu pollué est tout à fait favorable aux pneumopathies comme celle "due" au coronavirus.
La période hivernale est plus rude pour nos organismes : le soleil manque donc carence en vitamine D, la grisaille nous déprime, nous sortons moins, la différence de température ente nos domiciles souvent surchauffés et l'extérieur fragilisent nos muqueuses et les cellules des voies aériennes. Tout cela est plus grave chez les personnes vulnérables dont l'état de santé est déficient. C'est ainsi qu'en période hivernale, les insuffisances respiratoires aigues sont nombreuses chez les personnes fragilisées par des maladies, par un stress chronique et chez les personnes âgées. La covid19 fait partie de ces maladies saisonnières, comme la grippe. Et comme la grippe, nous devons comptabiliser les cas et les décès par saison d'octobre à mars. Ainsi comptabilisée, on s'aperçoit que la covid19 est l'équivalent d'une grosse grippe saisonnière, d'autant plus que de nombreux décès ont été favorisés par la gestion calamiteuse de cette épidémie et qu'une partie des décès ont été abusivement étiquetés covid19.
Par ailleurs, des questions se posent concernant le rôle exact des virus et bactéries dans les maladies dites infectieuses. Voici quelques pistes de réflexion :
« Quand on étudie de près la progression d'une maladie, en particulier les processus dits infectieux, les dommages à l'organisme se produisent au début, ce n'est qu'après que l'activité bactérienne commence. Si nous endommageons notre muqueuse respiratoire par hypothermie, alors apparaissent ces bactéries qui, selon l'intensité et la durée de l'hypothermie, ainsi que l'état de l'individu affecté, peuvent décomposer les cellules affectées et conduire à l'expulsion, au rhume. »Johann Loibner, médecin généraliste.
Les cellules du corps peuvent produire des micros ARN appelés virus, de leur propre chef, par exemple en réaction à des facteurs de stress. Les experts l'ont découvert il y a longtemps, ils parlent de virus endogènes, c'est à dire des particules qui se forment à l'intérieur du corps via les cellules elles-mêmes.
Des recherches sur les effets du stress ont montré que les changements épigénétiques engendrés par le stress étaient liés à ce que l'on appelle les micro-ARN, qui sont de minuscules segments d'ARN constitués à partir du génome et qui régulent ensuite l'activité génique.
Enfin, je pense qu'il faudrait regarder du coté des travaux des chercheurs Antoine Béchamp et Jules Tissot qui nous montrent les virus et bactéries sous un tout autre jour.
L'être humain a la fâcheuse habitude de s'inventer des ennemis totalement imaginaires au lieu d'admettre qu'il est le seul responsable de ses malheurs. Il est plus simple d'accuser une bactérie ou un virus plutôt que de remettre en cause notre mode de vie.
Notre système immunitaire veille à ce que cellules humaines, bactéries et virus cohabitent en parfaite harmonie dans notre corps.. Il veille à l'intégrité de notre corps. Il effectue d'autant mieux ses missions que nous sommes en bonne santé physique, psychologique et spirituelle.
De l'utilité de la vaccination
Si ma théorie de l'inexistence de virus ou de bactéries pathogènes est vraie, les vaccins sont inutiles.
Même si ma théorie est fausse, l'utilité des vaccins me semble peu avérée.
La vaccination est une agression pour l'organisme, il y a rupture de l'intégrité de la peau. Notre organisme va immédiatement réagir à cette agression, colmater la brèche (cicatrisation) et détruire toutes les substances étrangères qu'on a introduites. C'est une réaction qui reste localisée. Dans le cadre de l'entrée de virus par voie aérienne qui est, elle, une voie normale d'entrée des virus, la réponse du système immunitaire ne sera pas la même que celle donnée à l'agression vaccinale. Dans le cas où la personne vaccinée n'est pas en bonne santé, où son système immunitaire n'est pas aussi efficace qu'il devrait l'être, une partie des substances injectées va se propager dans l'organisme et provoquer des effets secondaires.
Comment peut-on croire que l'inoculation d'une soupe infâme composée, suivant le type de vaccins, de virus atténués, de toxines atténuées et de diverses substances chimiques plus ou moins toxiques comme l'aluminium, le graphène, puisse vous protéger d'une maladie ?
Dans le cas des vaccins à ARN, on introduit de force un morceau de gène qui va forcer nos cellules à produire une protéine qui na rien à faire dans notre corps et qui est toxique. Cette injection perturbe le fonctionnement normal de notre corps et de notre système immunitaire. Comment croire que cela est utile?
Je me suis beaucoup informé sur les vaccins, comme vous pouvez le voir ici : Mes sources de réflexion sur les vaccins.
J'en suis arrivé à cette conclusion : globalement, les vaccins ont peu d'effets positifs et ils peuvent être potentiellement dangereux. Ils sont nuisibles, semant la confusion dans les mécanismes corporels et déclenchant d'autres réactions biologiques qui peuvent passer inaperçues pendant quelque temps.
Si vous prenez soin de vous, si vous faites tout ce qui est nécessaire pour préserver votre santé, si vous vous comportez en être humain responsable, vous n'avez rien à craindre des virus et des bactéries. Votre système immunitaire fera le nécessaire. Contrairement aux allégations de certains scientifiques, notre immunité naturelle est beaucoup plus efficace que la pseudo-immunité vaccinale.
Le système immunitaire n'est pas un simple mécanisme qu'on peut activer ou booster avec un vaccin. Son efficacité dépend de nombreux facteurs sur lesquels un vaccin n'aura aucun effet.
De l'efficacité du système immunitaire.
Tout d'abord, un bon système immunitaire nécessite d'être en bonne santé physique par une alimentation saine, par de l'exercice physique régulier, par un bon sommeil...
Vous devez aussi être en bonne santé psychologique. Nous allons parler de deux zones de notre cerveau : le cortes cérébral et le cerveau limbique. Si on emploie le langage freudien, on peut dire que la référence du néo-cortex est le principe de réalité ( je dois faire ce que la société attend de moi) tandis que celle du cerveau limbique est le principe du plaisir ( je veux faire ce qui me plait), ce qui peut être la source de nombreux conflits. Dans la société civilisée, organisée, policée, le néo-cortex doit gérer notre adaptation au milieu social et aux diverses hiérarchies dont nous dépendons ( parents, éducateurs, supérieurs, patron, clients, décideurs politiques …) alors que le cerveau limbique ressent une forte envie de tout envoyer promener. Ainsi la vie en société impose à l'individu un permanent compromis qui provoque une formidable dépense d'énergie psychique et nerveuse, ce qui induit un stress chronique fort capable de ruiner sa santé.
C'est pourquoi dans la vie moderne les pauses, les vacances, les moments de relaxation, de méditation, de détente, d'écoute de son corps et de pur plaisir sont indispensables au maintien de notre équilibre organique et psychologique. La gestion de la crise sanitaire avec toutes ses mesures liberticides et anxiogènes ainsi que l'hystérie des médias moutonniers n'ont fait qu'aggraver le stress chronique et rendues beaucoup plus vulnérables les personnes âgées et les personnes présentant des comorbidités, provoquant un grand nombre de décès prématurés.
Le bien-être spirituel est aussi indispensable pour votre système immunitaire. L'être humain est un être spirituel. La spiritualité c'est ce qui met l'individu en harmonie avec l'univers et avec la vie.
La spiritualisation résulte de la noblesse de nos intentions, de l'élévation de nos sentiments et de la qualité de nos actions.
De nombreuses études ont montré les effets bénéfiques sur notre santé et donc sur notre système immunitaire de l'amour, de la bienveillance, de la tolérance, des câlins,..
L'élévation spirituelle est un facteur important pour être en bonne santé.
La peur, le désespoir, le sentiment d'impuissance diminuent automatiquement les défenses de notre organisme. Ces états d'esprit n'abaissent pas seulement les défenses, mais ils activent et modifient la composition chimique du corps, en altèrent les équilibres et créent les conditions d'une maladie. Des virus et des bactéries considérés comme pathogènes contribuent en fait, en situation normale, à la santé globale du corps et collaborent à des activités tout à fait nécessaires au maintien de l'équilibre corporel. C'est en situation anormale qu'ils deviennent pathogènes.
Pour l'intégrité de notre corps, nos états mentaux sont extrêmement importants. La peur, le désespoir, le sentiment d'impuissance sont de véritables ennemis biologiques.
L'état naturel de la vie est un état de joie, d'auto-acceptation, un état où l'action est efficace et où le pouvoir d'agir est un droit naturel. Nous pouvons le ressentir dans l'activité de notre corps, où l'affirmation individuelle et vitale de nos cellules mène à la réalisation collective, incroyablement complexe, de notre être physique. Cette activité favorise naturellement la santé et la vitalité.. C'est une réalité claire et libre de toute entrave, où règne l'opposé du désespoir, de la peur et du sentiment d'impuissance.
Nous vivons dans une communauté physique, mais nous vivons avant tout dans une communauté de pensées et de sensations. Elles déclenchent nos actes physiques. Elles influent directement sur le comportement de notre corps.
Le monde de la pensée et du ressenti a beau être invisible, c'est pourtant lui qui active tous les systèmes physiques.
Les croyances qui entretiennent le désespoir, la peur, le sentiment d'impuissance sont biologiquement destructrices. Elles conduisent à l'arrêt de l'organisme physique.
L'être humain a affaire à des croyances et des sentiments souvent si ambigus qu'aucune ligne d'action claire ne semble possible. La plupart du temps, le corps ne sait pas comment réagir.
Beaucoup de nos croyances mettent à mal le sens biologique d'intégrité de l'individu, accentuant les notions de danger et réduisant la zone de sécurité psychologique nécessaire au maintien de la vie. Les systèmes de défense du corps deviennent ainsi confus et perdent de leur efficacité.
Notre conception actuelle de la médecine préventive ( confinement, masque, distanciation sociale, vaccination ) génère le type même de peur qui provoque la maladie. Toutes ces mesures minent le sentiment individuel de sécurité physique et augmentent le stress.
Aucune publicité d'ordre médical ni aucun communiqué des services publics ne mentionnent les défenses naturelles du corps, son intégrité, sa vitalité ou sa force. Jamais, dans les médias, le moindre accent n'est mis sur les gens en bonne santé. Les statistiques médicales ne portent que sur ceux qui sont malades. Aucune étude n'est menée auprès des personnes en bonne santé.
Durant cette crise sanitaire, tous les communiqués de santé publique et toutes les mesures prises n'ont fait qu'alimenter la peur, le sentiment d'impuissance et le désespoir.
Nous emmenons notre corps chez le médecin comme on emmène notre automobile au garage pour la révision. Nous considérons notre corps comme un véhicule dont le contrôle nous échappe et qui a besoin d'être constamment vérifié.
Les religions mettent l'accent sur le péché, le corps médical met en avant la maladie, la science privilégie les théories du chaos et du hasard pour expliquer la création. La vie terrestre est perçue de façon sombre au lieu d'être présentée comme l'expérience vivante unique et créative qu'elle devrait être. Le corps est désorienté, détérioré. Les voies de communication libres entre le corps et l'esprit sont perturbées.
A notre niveau conscient et seulement celui-là, nous ne pourrions pas maintenir notre corps en vie pendant plus d'une heure. Nous ne saurions pas comment procéder, car la vie circule en nous de façon automatique et spontanée. Nous considérons comme acquis la respiration, la digestion, l'élimination, la circulation des flux, les battements du cœur. Tout ceci fonctionne sans que l'on ait à le décider consciemment. Nous pouvons faire confiance à notre corps pour nous maintenir en vie.
Laissé à lui-même, le corps peut se défendre contre n'importe quelle maladie, mais il est incapable de se défendre efficacement contre une peur généralisée et exagérée de la maladie. Nous sommes hantés par la peur d'être malades , accablés par ce qui parait être la tendance naturelle du corps à être malade et on ne souligne nulle part sa vitalité ou son système naturel de défense.
Il existe une spiritualité biologique qui veut que la vie est un cadeau et non pas une malédiction, que chacun d'entre nous est unique et a sa place dans le monde, que chacun a son chemin à suivre, que tous nous avons des talents, que notre corps est magnifiquement adapté à notre environnement, ce qui procure à l'organisme l'optimisme, la joie et l'énergie et qui permet à l'être humain d'avancer sereinement.
Ayons confiance dans notre corps pour nous maintenir en vie. Faisons ce qui est nécessaire pour l'aider. Ayons un regard plus positif sur la vie.
Regard sur la situation actuelle
L'épidémie reprend en Europe, là où on vaccine à plein régime en utilisant tous les moyens, même les plus inavouables, pour nous obliger à nous faire vacciner.
Qui peut encore croire à l'efficacité des vaccins? Même Mr Delfraissy, président du conseil scientifique, reconnait, dans l'émission La Matinale de France Inter du mercredi 17 novembre 2021, l'inefficacité des vaccins. Voici ses propos :
"Les vaccins protègent assez peu ou mal contre l'infection et la transmission. Alors je sais que c'est difficile à comprendre pour le public, c'est difficile à comprendre pour les médecins parce que d'habitude un vaccin protège contre l'infection. Dans cette pandémie, la médecine doit avoir une grande humilité."
Le 6 décembre, Monsieur Delfraissy s'est exprimé devant la commission des affaires sociales du sénat. Voici ce qu'il dit :
"il est possible que nous ayons besoin à un moment donné d'une quatrième dose."
"Je suis prudent, c'est à dire que j'entends parfois que la vaccination contre le covid ce sont deux injections plus un rappel. Pour l'instant c'est un rappel mais peut-être qu'il en faudra une quatrième."
" Est-ce que la vaccination va suffire pour limiter la cinquième vague? La réponse est non."
Après ces paroles, il ajoute que la vaccination reste un rempart efficace contre les formes graves et le problème des lits dans les hôpitaux.
On voit que Monsieur Delfraissy est complétement désemparé. Toutes ses certitudes sur les vaccins, les virus et les épidémies sont en train de s'écrouler. Il a beaucoup de mal à l'admettre, ce qui est tout à fait compréhensible. Alors il se raccroche à l'efficacité éventuelle d'une quatrième dose.
Pour notre médecine, nous sommes à un tournant décisif. Soit les vaccinalistes reconnaissent l'échec de la stratégie vaccinale et on va pouvoir enfin débattre sereinement sur les véritables causes de la maladie et engager notre médecine dans une autre direction plus saine, soit les vaccinalistes restent accrochés à leurs fausses certitudes et sont prêts à tout pour défendre leur vérité. Les vaccinalistes pourraient alors devenir très dangereux en proposant la vaccination obligatoire pour tous, avec tous les moyens d'oppression légaux ou illégaux.
J'appelle donc tous les scientifiques, les médecins, les soignants, les thérapeutes et les citoyens responsables qui sont opposés à cette dictature sanitaire à s'exprimer, à intervenir par tous les moyens pour empêcher les vaccinalistes de commettre l'irrémédiable.
Les vaccins ne protègent pas de la contamination et n'empêchent pas de contaminer les autres. Mais, nous dit-on, ils protègent des formes sévères de la maladie. Cela reste à prouver. Nous voyons que de plus en plus de personnes vaccinées sont hospitalisées !
Un urgentiste très connu avance comme argument pour justifier les patients hospitalisés vaccinés que quand il y aura 100% de vaccinés, il y aura 100% d'hospitalisés vaccinés. Sauf que si le vaccin nous protège, le nombre de patients vaccinés et hospitalisés devrait être faible et stable. C'est le type d'argument totalement stupide. Ce qu'il faut regarder, c'est si le nombre de personnes testées positives, hospitalisées et vaccinées est inférieure au nombre de personnes testées positives et hospitalisées avant la vaccination. Si le vaccin est efficace, le pourcentage devrait diminuer après la vaccination. Vu le nombre de personnes vaccinées hospitalisées dans des pays comme Israël, le Royaume Uni et la France, la protection contre les formes sévères semble peu importante.
L'autre problème avec les vaccins, ce sont les effets secondaires. L'ANSM ( Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) assure un suivi des cas d'effets secondaires dus aux vaccins anti-covid. Au 11 novembre 2021, 111 336 effets secondaires ont été signalés, dont 24% graves. Il est avéré qu'habituellement seulement 10% des effets indésirables des médicaments sont signalés. On peut penser que c'est pareil pour les vaccins.
A ce propos, si vous avez été victime d'un effet indésirable après la vaccination, vous pouvez le signaler sur le site de l'ANSM. N'hésitez pas, faites-le, c'est indispensable pour qu'on ait une vue très précise de la toxicité des vaccins.
Nos ancêtres ont fait en 1789 une grande révolution pour que soit reconnu à chaque citoyen le droit sacré au libre choix de ce qu'il croit juste et bon pour lui-même, en assumant le risque de se tromper. Toute loi qui prétend imposer à un citoyen ou à ses enfants l'inoculation de substances qu'il juge néfastes est nulle et non avenue, parce que contraire à la Constitution de la République. Elle n'est rien d'autre qu'un acte d'oppression et la déclaration des droits de l'homme et du citoyen reconnait à chacun, dans son article 2, le droit de résistance à l'oppression.
Je rappelle que La Déclaration des Droits de L'Homme et du Citoyen de 1789 fait partie intégrante de notre constitution.
D'une insuffisance respiratoire aigue saisonnière, comme on en voit tous les hivers, on a fait une pandémie. L'hystérie médiatico-politico-scientifique, totalement injustifiée, est responsable de beaucoup de décès prématurés. L'importance de cette épidémie a été artificiellement accrue en étiquetant covis des décès qui n'avaient rien à voir.
Ce n'est plus une crise sanitaire mais une catastrophe sanitaire. Mais ils continuent dans leur folie. Maintenant ils accusent les enfants d'être des propagateurs de virus, ce qui n'est absolument pas vérifié. Leur but est de vacciner tous les enfants.
Les enfants ont déjà beaucoup soufferts de cette crise. Avons nous le droit d'inoculer à nos enfants des vaccins expérimentaux en risquant de compromettre leur avenir pour soi-disant protéger la population dont la grande majorité ne craint rien. Je trouve cela scandaleux.
De la liberté.
Etant donné que la vaccination n'empêche pas de contaminer, n'empêche pas d'être contaminé, il n' y a aucune raison de l'imposer. La seule protection qu'elle apporte, c'est de diminuer le risque de faire une forme grave, et encore il y a des doutes, c'est donc une protection individuelle. D'autre part, nous ne pouvons négliger les effets secondaires potentiels à court, moyen et long terme.
Laissons donc à chacun la liberté de se vacciner ou pas.
Trouvez-vous normal d'entendre de tels propos (je ne donne pas les noms des auteurs, cela ne servirait à rien) :
"Quand on prend ce genre de responsabilité, celle de ne pas se faire vacciner, il faut se regarder dans la glace le matin en se disant : Oui je peux tuer des gens dans la journée."
"Les non-vaccinés, je ferai tout pour en faire des parias de la société. Il faut aller les chercher avec les dents et les menottes."
"A l'occasion, dites à vos potes qui n'ont pas envie de se vacciner qu'ils commencent à nous saouler."
"Les antivax font chier tout le monde. Ce sont des dingues qui ont de gros problèmes et qui cherchent un exutoire."
Je suis pharmacien, j'ai 65 ans. J'ai passé beaucoup de temps à étudier la pertinence de la vaccination en examinant les arguments scientifiques des pro et des anti vaccins. J'en ai conclu que la vaccination avait très peu d'intérêt Depuis le début de la crise, j'ai à nouveau épluché les arguments des vaccinalistes sans que cela me fasse changer d'opinion. Le problème, c'est que les médias n'écoutent que les vaccinalistes, donc donnent une information à sens unique. Pourtant il ya des scientifiques très compétents qui ont des doutes sur l'intérêt de la vaccination.
Je ne suis pas un complotiste. Je suis juste un amoureux de la liberté et de la responsabilité et je les défendrais sans cesse.
