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Covid-19, vaccins : appel à la raison et au bon sens

Depuis le début de l'épidémie, il y a eu, en France, 5 871 881 cas de covid19 et il y a eu 111 492 décès ( chiffres du site worldometer le 20/07/21).

Le nombre de cas en France représente 9% des 65,5 millions de français. On peut dire que notre système immunitaire naturel a protégé 91% d'entre nous.

Les vaccins, suivant le type de vaccin, apporte entre 70 et 90% de protection. Peut-on dire que notre immunité naturelle est au moins aussi, voire plus efficace que l'immunité artificielle des vaccins ?

L'immunité attribuée aux vaccins ne serait-elle pas tout simplement notre immunité naturelle ? La question mérite d'être posée.

Depuis son apparition, l'être humain a toujours vécu avec les bactéries et les virus et pourtant il n'est pas malade en permanence. L'être humain a un système immunitaire qui le protège, à condition qu'il soit en mesure de fonctionner parfaitement et , nous allons le voir, cela ne dépend que de nous. Sans notre système immunitaire, il y a belle lurette que nous aurions disparus.

Un vaccin ne pourra jamais remplacer notre système immunitaire.

Pour tester les médicaments, on a établi les essais randomisés contrôlés en double aveugle et placebo. C'est la seule façon solide d'évaluer scientifiquement l'efficacité d'un médicament. Malheureusement, pour les vaccins, ce type d'essai n'est jamais réalisé.

Michel de Lorgeril, cardiologue, épidémiologiste et chercheur au CNRS, dans son dernier livre « Les vaccins à l'ère de la covid-19 », cite un essai en double aveugle et placebo, effectué en Afrique du Sud. Le placebo est une injection de sérum physiologique. Il y a plus de 2000 participants. Cet essai concerne le vaccin ASTRA ZENECA . Le résultat de l'essai est qu'il n'y a pas de différence entre le groupe témoin et le groupe vacciné. Ceci montre l'inutilité du vaccin ; dans les deux cas c'est l'immunité naturelle qui agit.

Claude Bernard, médecin et physiologiste a dit :

« Le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout. » Il a créé à partir de 1850, le concept fondamental de la biologie moderne du milieu intérieur. La constance de ce dernier, nommée plus tard l'homéostasie, est la condition de l'affranchissement des organismes évolués.

Autrement dit, une personne en bonne santé, en homéostasie, est protégée des maladies infectieuses qu'elles soient dues à une bactérie ou un virus.

Une maladie infectieuse ne survient pas par hasard. Les microbes n'ont de prise sur nous que dans la mesure où notre organisme n'a plus ses capacités normales de résistance aux agressions.

C'est ce qui se passe avec la covid-19. Seules les personnes vulnérables sont malades.

Les personnes vulnérables sont :

. les personnes âgées : avec l'âge une dégénérescence immunitaire s'installe.

. les personnes qui présentent des comorbidités ; diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers, obésité, sédentarité, stress chronique, environnement pollué.

Pour bien comprendre, prenons l'exemple de Mr Paul.

Mr Paul est âgé de 80 ans, est diabétique, vit en maison de retraite où il a été soumis à la maltraitance due au confinement ( pas de visites, pas de sorties, sensation de solitude, perte de l'envie de vivre appelée aussi syndrome du glissement, ce qui explique le nombre important de décès dans les maisons de retraite). Mr Paul a été contaminé, a fait une forme grave et est décédé. Le vaccin aurait-il pu protéger Mr Paul ? Je ne le pense pas. Pour être protégé, Mr Paul doit retrouver un système immunitaire efficace. A moins de rajeunir Mr Paul d'une bonne vingtaine d'années, de guérir son diabète, de le protéger du stress, je ne vois pas comment un vaccin pourrait le protéger.

Il y a des personnes asymptomatiques et testées positives. Si une personne est asymptomatique, c'est qu'elle n'est pas malade, c'est que le virus n'a pas trouvé un terrain favorable à son développement. Le virus meurt et est ensuite évacué. La personne peut être testée positive car le test PCR ne fait pas la différence entre l'ARN d'un virus mort et l'ARN d'un virus vivant.

De nombreux scientifiques se sont élevés contre l'utilisation des tests PCR les jugeant pas assez fiables.

Une personne en bonne santé ( homéostasie) est protégée et elle protège les autres. En détruisant le virus, elle empêche la propagation du virus. Notre seule responsabilité vis à vis de cette épidémie, c'est de tout faire pour rester en bonne santé. Se vacciner n'apporte rien.

Comment expliquer les nombreux décès ?

Dans l'hystérie collective, tout le monde a complètement négligé le fait qu'il y a tous les ans des gens qui contractent des infections pulmonaires et qui en meurent. Tout le monde a négligé également, que le nombre de personnes âgées est en constante augmentation, qu'il y a de plus en plus de personnes atteintes de diabète, de cancer, d'obésité, que le stress chronique est de plus en plus fréquent dans nos vies. Tout ceci augmente considérablement le nombre de personnes vulnérables et, donc le nombre de malades et de décès.

L'OMS donne cette définition de la santé :

« Être en bonne santé implique de connaître un état de bien-être à la fois physique, psychologique et social ».

La distanciation sociale est-elle source de bien-être physique, psychologique et social ?

Le confinement est-il source de bien-être physique, psychologique et social ?

Le port du masque est-il source de bien-être physique, psychologique et social ?

La fermeture des commerces, des lieux culturels, des salles de sport est-elle source de bien-être physique, psychologique et social ?

Le télétravail est-il source de bien-être physique, psychologique et social ?

La dictature sanitaire est-elle source de bien-être physique, psychologique et social ?


Pour tout la réponse est NON. En plus d'être liberticides, toutes ces mesures sont contraires à la santé et ont donc contribuées au développement de l'épidémie.


En mars 2020 , nous avions à faire face à une épidémie virale comme il y en a tous les ans. Certains scientifiques ont alors alerté à une pandémie meurtrière et tout a basculé. L'hystérie médiatico-politico-scientifique s'est déployée à grande vitesse, notamment la déclaration de guerre contre les « hordes de virus » qui envahissaient la France et nous nous sommes embarqués dans une spirale infernale dont nous ne savons plus comment sortir, tellement la peur est présente partout.


D'une épidémie de type grippale, on a fait une crise sanitaire. D'une crise sanitaire, on a fait une dictature sanitaire. Allons-nous laisser cette dictature sanitaire devenir une dictature ?

Au moment où j'écris, on annonce une quatrième vague. L'hystérie continue. Le ministre de la santé souligne que cette nouvelle vague est une épidémie de jeunes. En fait nous sommes en période de vacances. Les jeunes, après une année très difficile, ne pensent plus qu'à se retrouver, à faire la fête, à aller au cinéma, aux concerts. Comme la majorité de ces jeunes n'est pas encore vaccinée, ils doivent faire un test pour pouvoir entrer. La grande majorité des jeunes est en bonne santé et ils sont donc protégés. Leur terrain est défavorable au virus qui ne peut se multiplier et qui finit par mourir. Comme nous l'avons vu précédemment, une partie de ces tests est faussement positive. Je ne pense pas que l'on doive craindre une quatrième vague.

Les hospitalisations, depuis le début de l'épidémie, par tranche d'âge :

0 -14 ans 1%

15 – 44 ans 6%

45 – 64 ans 23%

65 – 74 ans 26%

75 ans et + 44%


Sauf cas de comorbidités, qui sont moins fréquentes chez les jeunes mais qui risquent d'augmenter avec notre mode de vie, il y aura peu d'hospitalisations.

Je termine en citant Mr Nicolas Hulot. Dans une interview au journal Ouest-France du 18 juillet, il dit ceci :

« La chronologie des dernières semaines est effrayante. Une fonte de la banquise antarctique comme on ne l'a jamais vue, des chaleurs inédites en Sibérie, une température insoutenable dans l'ouest canadien, des incendies dramatiques dans l'ouest américain, les crues meurtrières en Belgique et en Allemagne... Mais quand notre classe politique et nos élites intellectuelles dans leur grande majorité vont-elles sortir de leur silence ? »

Notre mode de vie détruit notre planète, détruit notre santé. Continuons ainsi et les épidémies seront de plus en plus meurtrières car il y aura de plus en plus de personnes vulnérables et les vaccins ne pourront rien faire.




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