- blotdomi
Covid19 : l'irresponsabilité n'est pas forcément là où on le pense.
C'est la rentrée et déjà l'Institut Pasteur nous annonce une cinquième vague au mois d'octobre. Devons-nous continuer à cesser de vivre ou au contraire redresser la tête et revenir à une vie normale que nous n'aurions jamais dû quitter ?
Quelques vérités essentielles :
Les personnes en bonne santé n'ont rien à craindre. Leur immunité naturelle les protège efficacement. En effet, l'immunité naturelle d'une personne en bonne santé est beaucoup plus efficace que la supposée immunité vaccinale. Toutes les personnes en bonne santé n'ont rien à craindre et n'ont pas besoin de se faire vacciner.
Les formes graves de la covid19 ne touchent que les personnes âgées avec ou sans comorbidité et des personnes un peu moins âgées mais avec une ou plusieurs comorbidités. C'était vrai dès les premiers mois de l'épidémie et c'est toujours vrai 18 mois après.
95% des personnes hospitalisées sont porteurs d'une ou plusieurs des comorbidités suivantes : hypertension, excès de cholestérol, obésité, diabète, athérosclérose, pathologies œsophagiennes (reflux gastrique...), anxiété, stress chronique, pathologie bronchique, problème de thyroïde, dépression, greffes, insomnie, problèmes neurocognitifs, arthrose, anémie, asthme, cancer. Plusieurs de ces comorbidités sont dues à notre mode de vie.
Moins votre santé est bonne, plus vous avez de risques d'être victime de la covid19.
La covid19 est avant tout une maladie de l'âge et de notre mode de vie. C'est une maladie des pays les plus industrialisés, c'est à dire les plus pollués. On ne peut pas, à longueur d'années, vivre dans un univers pollué, manger n'importe quoi, être sédentaire, être dans un état de stress permanent, sans en subir tôt ou tard les conséquences. On ne peut pas détruire ses défenses immunitaires et, ensuite, s'étonner d'être malade.
Le virus vit sa vie. Il n'a rien contre nous, on ne sait même pas si c'est un être vivant. C'est nous qui lui permettons d'envahir notre corps. Plus nous angoissons, plus nous avons peur du virus, plus nous diminuons notre immunité, plus nous avons de risques de tomber malade.
Tout au long de cette épidémie, les médias, les politiques et beaucoup de scientifiques n'ont cessé d'alimenter la peur. Toutes les mesures prises n'ont fait qu'aggraver la situation.
Nous pouvons reprendre une vie normale dès maintenant. Une épidémie se déroule toujours de la même façon : un début, une phase ascendante, un pic, une phase descendante et une fin. Toutes les mesures prises n'ont fait que ralentir la progression de l'épidémie et l'ont surtout aggravé.
Mais, me direz-vous, il y a des morts. Bien sûr qu'il y a des morts, mais c'est inéluctable. Mais avec une autre gestion de l'épidémie, nous aurions pu limiter le nombre de décès. Notre mode de vie fait que, si nous ne changeons rien, les épidémies à venir seront de plus en plus meurtrières.
Une personne en bonne santé n'a rien à craindre, n'a pas à avoir peur d'être contaminée. Son immunité naturelle la protège et, non seulement elle protège cette personne, mais elle protège aussi les autres. En effet, si elle est en contact avec le virus, son système immunitaire va le neutraliser et l'éliminer, ainsi elle ne contaminera pas les personnes qu'elles côtoient.
Pour vous protéger et protéger les autres, il vaut mieux être en bonne santé que d'être vacciné.
Malgré cela, on continue à vacciner massivement. Mais on commence à s’apercevoir que les vaccins n'empêchent pas toujours d'être contaminé, ni de contaminer les autres. Pire encore, des personnes avec deux doses de vaccins, se trouvent malgré tout hospitalisées pour forme grave de la maladie covid19.
Les personnes vaccinées, munies de leur passe sanitaire, peuvent se déplacer librement. On se retrouve entre vaccinés, on se sent rassuré, on peut se relâcher et donc se contaminer rt contaminer les autres. On arrive à ce paradoxe que les personnes vaccinées sont plus dangereuses que les personnes en bonne santé non-vaccinées.
Dans quelques mois, ce sera l'élection du Président de la République. Pour que je donne mon vote à un candidat, il faudrait que, dans son programme, figurent les propositions qui suivent :
Interdiction des camps de concentration pour animaux, ce qu'on appelle élevage intensif. Peut-on appeler cela de l'élevage ? Ce mode d'élevage favorise les épidémies (grippe aviaire...), donne une viande de très mauvaise qualité et génère une souffrance animale insoutenable.
Généralisation de l'agriculture biologique afin de supprimer l'empoisonnement de la population par les pesticides, herbicides et autres substances hautement toxiques.
Généralisation des énergies propres pour diminuer la pollution et retrouver notre indépendance énergétique. Tout le monde doit se mobiliser : la recherche, les industriels, les collectivités locales, les administrations et tous les citoyens.
Interdiction à l'industrie agro-alimentaire, d'utiliser les produits reconnus nocifs, pour la préparation des aliments
Ce sont des propositions tout à fait réalisables. Elles sont indispensables quand on voit l'état de notre planète. N'attendons pas que les autres pays s'y mettent, donnons l'exemple . Je reviendrai sur ces propositions et d'autres dans un prochain article consacré à l'élection présidentielle.
« La santé d'un individu n'est pas d'une nature différente de celle de la santé d'un peuple et chacune des deux retentit sur l'autre. La démocratie réelle implique la liberté et la responsabilité de chaque citoyen en toutes choses.
La dictature médicale et la dictature politique résultent d'un même mépris de l'individu autonome et du peuple souverain. » L’ère nouvelle N° 224, janvier 2016, page 225.
En conclusion, les personnes en bonne santé peuvent tout à fait reprendre une vie normale. Je conseille aux personnes dites vulnérables de corriger, quand cela est possible, ce qui les rend vulnérables. Par ailleurs, il existe de nombreuses substances naturelles qui peuvent renforcer leur immunité. J'en parlerai dans un prochain article.
Non au passe sanitaire, non à l'obligation vaccinale et mon soutien à tous les soignants qui refusent la vaccination.
Etre confinés, distanciés, masqués, surveillés, censurés, culpabilisés, apeurés, vaccinés
ou
la liberté, le retour à la vie normale, la convivialité, l'amour.
Que voulez-vous pour l'avenir ?
