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Lettre au Président de la République

J'ai envoyé ce courrier au Président de la République en allant sur le site de l'Elysée. Je ne manquerai pas de vous informer des suites de ce courrier



Monsieur le Président de la République

Après 19 mois d'épidémie, nous sommes en droit de poser certaines questions, certes un peu dérangeantes , en particulier sur les méthodes utilisées pour la contrôler.

Premier sujet : la gestion de l'épidémie


Qu'elle est la raison de l'hystérie médiatico-politico-scientifique qui sévit depuis le début de l'épidémie. C'est du jamais vu et c'est totalement injustifié. Dès le mois d'avril 2020 je vous ai envoyé des courriers pour vous alerter sur ce phénomène totalement irréaliste et sur le bien fondé des mesures prises pour maîtriser l'épidémie.

Tous les humains sont dotés d'un système immunitaire d'une redoutable efficacité, ce qui leur a permis, depuis des milliers d'années, de vivre au milieu des bactéries et des virus sans risque. Une personne en bonne santé a un système immunitaire efficace et n'a rien à craindre des virus et des bactéries.

Depuis le début de l'épidémie, on n'a pas cessé de dire que tout le monde était en danger. C'est un mensonge.

Depuis le début de l'épidémie et jusqu'à ce jour, seules les personnes âgées et les personnes atteintes de comorbidités sont à risques. L'hystérie médiatico-politico-scientifique a généré un sentiment de peur, d'angoisse dans toute la population, créant ainsi un gigantesque effet nocebo aux conséquences mortifères.

Avec le recul, on a l'impression que tout a été fait pour effrayer au maximum la population et justifier ainsi les mesures disproportionnées qui ont été prises . Vous avez déclaré la guerre au virus, le conseil scientifique n'a cessé d'entretenir la peur et de harceler la population et que dire des médias tous orientés sur le catastrophisme.

C'est oublier que le stress chronique, la peur chronique génèrent de nombreux dysfonctionnements physiologiques dans les organismes humains et notamment des dysfonctionnements du système immunitaire. Le stress chronique peut entraîner la mort, ceci a été prouvé scientifiquement.

Le confinement de la population n'a eu aucun effet sur la propagation de l'épidémie, des études sérieuses l'ont montré. Il n'a fait que la ralentir, ce qui n'est pas forcément bénéfique puisqu'on allonge la durée de l'épidémie. Par contre, les effets néfastes sont nombreux. Le confinement est notamment responsable de l'hécatombe constatée dans les maisons de retraite aux mois de mars et avril 2020. Pendant le confinement, les résidents ont été privés de sorties et surtout de visites. Ils ont été privés de l'amour de leur proches, leur seule raison de continuer à vivre. Beaucoup ne comprenant pas ce qui se passait se sont laissés mourir de désespoir (le syndrome du glissement).

Le confinement a eu un effet désastreux sur la santé des français, notamment sur leur santé mentale comme vous le savez, Mr le Président. Ajoutons les conséquences sociales, économiques et on voit bien que le confinement a un rapport bénéfice/risque très défavorable.

De nombreuses études ont montré que le port du masque n'a eu qu'une faible incidence sur le déroulement de l'épidémie. On a même été jusqu'à le rendre obligatoire en extérieur, alors que la majorité des contaminations se fait en intérieur.

La distanciation sociale est une mesure totalement contre nature. L'homme est un être social qui a besoin de contacts, de relations, d'amour. La distanciation sociale entretient la peur de l'autre.

La Suède a été beaucoup moins exigeante en ce qui concerne les mesures de confinement, de port du masque et de distanciation sociale. Si les mesures prises en France sont efficaces, on doit s'attendre à trouver un nombre de décès et de cas positifs plus importants en Suède. Voilà les chiffres relevés le 15/10/2021 sur le site worldometers :

France 1791 Décès/1M d'habitants 108072 Cas positifs/1M d'habitants

Suède 1465 Décès/1M d'habitants 114137 Cas positifs/1M d'habitants


Par ailleurs, du 6 au 13 octobre 2021, la Suède comptabilise 28 décès et 5004 cas positifs alors que la France comptabilise 250 décès et 35334 cas positifs.

Ces chiffres montrent bien la faible efficacité des gestes barrières puisqu'on a un peu moins de cas positifs en France mais un nombre de décès plus important, 226 de plus par millions d'habitants, soit 15142 décès de plus pour 67 millions d'habitants. Ces chiffres confortent l'idée que les gestes barrières ont pu entraîné des décès supplémentaires, notamment le confinement et la peur générée dans toute la population

Il n'était vraiment pas nécessaire de recourir à tous ces moyens, en particulier pour les jeunes qui ont payé le prix cher ( solitude, peur, recours au secours populaire pour survivre). On peut être étonné de leur passivité face à la maltraitance qu'on leur a fait subir, ce qui peut paraître inquiétant pour l'avenir. On voit des jeunes gens porter le masque, même en extérieur ! C'est un véritable traumatisme psychique qu'on leur a fait subir et cela était totalement injustifié.

En 2020 , pour aggraver encore un peu plus la situation, on a interdit aux médecins généralistes de traiter les malades. La consigne était de leur dire : restez chez vous, prenez du paracétamol et si ça s'aggrave appelez le SAMU. C'est de la non assistance à personne en danger de mort. On peut noter que peu de médecins ont protesté contre cette atteinte à leur liberté d'exercice.

On a décidé d'utiliser les tests PCR pour surveiller l'épidémie alors que beaucoup de scientifiques y étaient opposés. L'inventeur de la PCR, qui a eu le prix Nobel de chimie en 1993, Kary Mullis, contestait que sa méthode puisse servir à détecter une infection virale et à en mesurer la gravité. Basé sur l'amplification de séquences génétiques, ce test peut faussement réagir à la présences d'impuretés, de débris protéiques ou de virus morts. On a utilisé un test à la fiabilité douteuse pour surveiller l'épidémie.

De ce qui était au départ une épidémie de type grippal, on a fait une pandémie, ce qui n'aurait jamais du arriver.

Deuxième sujet : les vaccins.

Contrairement à ce que disait un Ministre de la Santé, la vaccination ça se discute !

Nous avons un système immunitaire qui nous protège, à condition d'en prendre soin, c'est à dire avoir une alimentation bio et équilibrée, faire de l'exercice physique, éviter au maximum la pollution, éviter l'excès de stress, avoir un bon sommeil. Toute personne qui respecte ces consignes sera en bonne santé, aura un système immunitaire en parfait état de marche qui la protégera de toute infection et n'aura donc pas besoin d'un vaccin.

Comment fait-on pour différencier la protection due à notre système immunitaire et celle due au vaccin. Quand on évalue la protection apportée par un vaccin, il y a un risque de lui attribuer un effet qui revient en fait à notre système immunitaire. Seule une étude en double aveugle contrôlée par placebo permettrait de différencier l'immunité vaccinale de l'immunité naturelle.

Contrôlé par placebo signifie que dans une étude, un groupe de participants reçoit le vaccin et le groupe de contrôle reçoit un médicament fictif inefficace, le placebo.

En double aveugle signifie que ni les personnes qui mènent l'étude et ni les personnes testées ne savent quels participants reçoivent le vaccin et ceux qui reçoivent le placebo.

Malheureusement, pour les vaccins ce type d'étude n'existe pas. On ne trouve que quelques rares études dans la littérature médicale et elles sont toutes défavorables aux vaccins, ce qui explique sans doute pourquoi on ne les fait pas.

Concernant les vaccins anti-covid, Michel de Lorgeril, cardiologue, épidémiologiste et chercheur au CNRS, dans son dernier livre « Les vaccins à l'ère de la covid-19 », cite un essai en double aveugle et placebo, effectué en Afrique du Sud. Le placebo est une injection de sérum physiologique. Il y a plus de 2000 participants. Cet essai concerne le vaccin ASTRA ZENECA . Le résultat de l'essai est qu'il n'y a pas de différence entre le groupe témoin et le groupe vacciné. Ceci montre l'inutilité du vaccin qui n'apporte rien de plus par rapport à notre immunité naturelle.

A la date du 20/10/2021, le site worldometers indique que depuis le début de l'épidémie, il y a eu 117 355 décès et 7 096 043 cas positifs en France. Par rapport aux 67 millions de français, les décès représentent 0,18% et les cas positifs 10,60%. On peut donc dire que notre immunité naturelle a protégé 99,82% des français de la mort par covid et 89,40% de la maladie.

Le vaccin vient en plus de notre immunité naturelle, il vient potentiellement accroître l'efficacité de notre système immunitaire. Donc si le vaccin est vraiment efficace, on devrait avoir :

immunité naturelle + immunité vaccinale > 89,40%

D'après les chiffres publiés, c'est loin d'être le cas, ce qui montre le peu d’intérêt des vaccins.

Si l'on regarde les courbes des grandes épidémies comme la tuberculose, la diphtérie, la rougeole, la coqueluche, on s'aperçoit que ces épidémies étaient déjà en net déclin quand les vaccins sont arrivés. C'est l'amélioration du niveau de vie (une meilleure alimentation, une meilleure hygiène, la construction de stations d'épuration...) qui a permis de faire reculer ces maladies.

Toutes les études montrent que les personnes vaccinées sont en moins bonne santé que les personnes non vaccinées et notamment en ce qui concerne les enfants.

Contrairement à la propagande des laboratoires qui vante l'efficacité des vaccins, celle-ci n'a jamais été vérifiée.

Un mensonge répété sans fin peut devenir une vérité pour certains, mais il n'empêche qu'il reste un mensonge et la vérité finit toujours par surgir un jour.

Étant donné que l'efficacité vaccinale n'est pas prouvée, on ne peut moralement obliger la population à se vacciner, ceci d'autant plus que les vaccins sont responsables de nombreux effets secondaires.

L'ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) indique à la date du 30 septembre 2021, que 96217 cas d'effets secondaires lui ont été signalés, dont 25% de cas graves. Quand on sait qu'une grande partie des effets secondaires observés par les médecins ne sont pas signalés, il est certain que le nombre de cas d'effets secondaires est beaucoup plus important. On estime que seulement 10% des effets indésirables sont signalés.

Il est maintenant avéré que la protéine Spike est responsable de plusieurs symptômes observés chez les malades de la covid. Cette protéine est toxique. Les vaccins obligent nos cellules à fabriquer cette protéine toxique. Comment peut-on, en toute conscience, obliger la population à se vacciner ?

Visiblement, les effets secondaires sont plus nombreux après la deuxième dose. Qu'en sera-t-il après la troisième dose ? Il me semble que le principe de précaution devrait s'appliquer aux vaccins anti-covid.

Il est totalement aberrant de mettre au chômage le personnel de santé qui ne veut pas se faire vacciner. C'est tout simplement un abus d'autorité.

Les chaînes de la télévision publique sont là pour nous informer. Elles se doivent de consacrer au moins une émission de débat concernant la gestion de l'épidémie et la vaccination en invitant aussi bien les partisans que les opposants aux différentes mesures prises pendant cette épidémie. Actuellement, on ne voit que les virologues et épidémiologistes favorables aux mesures prises et aux vaccins, ce qui laisse croire à la population qu'il n'y a pas d'autre choix.

Avant de conclure, je voudrais dans le cadre de la vaccination, parler du niveau d'attachement à une croyance. Suivant notre niveau d'attachement à nos croyances, notre vie sera totalement différente.

Je vais prendre l'exemple d'une personne qui croit en l'efficacité des vaccins.

Au premier palier d'attachement, cette personne, suivant sa croyance, se fait vacciner. Cela la sécurise. Malgré tout, elle reste ouverte au dialogue. Si elle rencontre une personne qui ne croit pas en l'efficacité des vaccins, elle écoute ses arguments avec respect. Suivra une période de réflexion qui soit la renforcera dans sa croyance, soit lui fera changer d'avis.

Au deuxième palier d'attachement, la personne croit toujours aux bienfaits de la vaccination et se croit obligée de convaincre les autres. Elle sera contrariée si une personne n'est pas d'accord avec sa croyance. A ce stade, le fait qu'une personne puisse être contre la vaccination lui est simplement incompréhensible.

Au troisième palier d'attachement, la personne croit toujours aux bienfaits de la vaccination, mais elle décide de s'investir et de militer pour la vaccination. Toute personne qui n'est pas d'accord avec elle a forcément tort. A ce stade, le fait qu'une personne puisse être contre la vaccination, lui est intolérable.

Au quatrième palier d'attachement, la personne croit toujours aux bienfaits de la vaccination, mais si elle le pouvait elle obligerait tout le monde à se faire vacciner. Si elle croise un opposant à la vaccination, il est automatiquement son ennemi. Les autres doivent se soumettre et se rendre compte que c'est elle qui a raison. Le totalitarisme n'est pas loin. Si la personne en a le pouvoir, elle obligera toute la population à se faire vacciner.

Chaque fois qu'on croit quelque chose sans rien remettre en question, on court le risque, sans vraiment s'en rendre compte, de développer un attachement de niveau 4 avec toutes les conséquences que cela peut entraîner pour soi-même et pour les autres. Nous pouvons ne pas être d'accord avec les croyances d'une personne, mais nous devons respecter son droit à avoir ces croyances. Gardons notre ouverture d'esprit pour ne pas tomber dans l'autoritarisme.

Je suis pharmacien. J'ai obtenu le diplôme en 1980. Durant les premières années de ma carrière, tout allait bien. Je croyais fermement à la médecine allopathique, en l'efficacité des médicaments et des vaccins. J'essayais de convaincre les incrédules. Mais au fil des années, le doute est apparu. Étant très curieux de nature et toujours à l'écoute, les arguments de certains de mes clients me paraissaient tout à fait valables, en particulier en ce qui concerne la vaccination. Je décidais donc d'en savoir un peu plus. J'ai lu de nombreux articles et livres de divers scientifiques, qu'ils soient pour ou contre la vaccination. Après plus d'une année de recherches, j'en ai conclu que l'efficacité des vaccins n'était pas démontrée et qu'il y avait beaucoup d'arguments qui allaient dans ce sens. Cette prise de conscience à propos des vaccins, les différents scandales sanitaires, les trop nombreux effets secondaires des médicaments, les prescriptions à rallonge ( parfois 15 médicaments différents) notamment pour les personnes âgées, ont fait que j'ai décidé d’arrêter d'exercer en milieu officinal. Je pense que la médecine allopathique devrait se remettre en question, laisser plus de place aux médecines dites parallèles et enfin prendre en compte qu'un être humain c'est un corps et un esprit, les deux étant en interaction permanente. Quand la médecine moderne en arrive à maltraiter la population, il y a un problème. N'oublions pas le premier principe du serment d’Hippocrate : Primum non nocere.

J'ai donc pris la direction d'une parapharmacie où je me suis investi dans le conseil en aromathérapie, en phytothérapie, en diététique, en compléments alimentaires. J'étudie les relations corps/esprit et leur incidence sur la genèse des maladies.

Vous avez pu lire plus haut, les arguments qui me font douter de l'efficacité des vaccins. Chacun doit rester libre de se faire vacciner ou pas. Le passe sanitaire est une obligation vaccinale déguisée, au mépris de nos libertés. Malheureusement, vous continuez dans le même sens puisque le passe sanitaire est prolongé jusqu'en juillet 2022. Vous avez même réussi à faire voter un amendement scandaleux, qui lève le secret médical pour les enfants qui vont à l'école.

En conclusion, Monsieur le Président de la République, il est temps de nous laisser vivre normalement, de rétablir toutes les libertés que vous nous avez supprimées, d'abolir le passe sanitaire et de laisser chacun libre de se faire vacciner ou pas. Je sais bien que ce courrier ne vous fera pas changer d'avis, mais, qui sait, peut-être vous fera-t-il douter un peu.

Dans l'attente de votre réponse, que je publierai sur mon site internet, veuillez agréer Monsieur le Président de la République, mes respectueuses salutations.

Blot Dominique

Le 22/10/2021




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