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SRAS COV2 : virus virtuel?

Cet article se compose de 6 parties :


1 - Qu'est-ce qu'un virus ?

2 - Quelques vérités sur les virus et les bactéries

3 - A t'on vraiment découvert le virus SRAS-COV-2 ?

4 - Pour une autre vision de l'évolution.

5 - A propos des vaccins

6 - Les causes réelles des "épidémies"

7 - Conclusion

1- Qu'est-ce qu'un virus ?

D'après les virologues, un virus est constitué de molécules organiques, un acide nucléique ADN ou ARN, et une enveloppe protéique complexe, à la foi protectrice et réceptrice. L'enveloppe, d'une part protège l'ADN ou l'ARN qu'elle contient, et d'autre part permet d'atteindre une cellule cible, de s'y amarrer et d'injecter son ADN ou ARN. Un virus est certes organique, mais on ne peut pas dire que c'est un être vivant. Un virus n'a pas de métabolisme car il n'a pas de fonction de nutrition. Il n'a pas non plus de fonction de respiration. De plus, il est incapable de se reproduire ; il a besoin d'une cellule animale ou végétale pour le faire.

En résumé et pour faire simple, un virus est un petit sac qui renferme un petit morceau de code génétique.

Comment ce petit sac, qui n'est pas vivant, peut-il un jour décider de s'attaquer à un être humain dans le but de le détruire ? Pour cela, il lui faut pénétrer dans le corps d'un humain, corps qui dispose d'un système immunitaire extrêmement sophistiqué composé d'une armada de soldats (anticorps, lymphocytes tueurs,... ) pour empêcher l'invasion des intrus. Puis il rencontre une cellule il lui faut injecter son petit morceau de code génétique dans la cellule. Rappelons que les cellules humaines sont entourées d'une membrane très sélective qui ne laisse pas passer n'importe quoi. La cellule qui est intelligente et dispose de nombreux moyens de défense, va normalement détruire l'intrus qu'est ce morceau d'ARN. Admettons que le morceau d'ARN survive, il lui faut prendre le contrôle total de la cellule, pour la forcer à fabriquer plein de nouveaux virus. La cellule humaine dispose d'une machinerie très sophistiquée qui lui permet de vivre et de se défendre pour rester en vie.


Extrait du livre « Le fabuleux pouvoir de vos gènes » de Deepak Chopra et Rudolph E. Tanzi :

« Partout dans le corps, une cellule met en pratique le secret de la vie :

– elle sait ce qui est bon pour elle et œuvre dans ce sens

– elle sait ce qui est mauvais pour elle et l'évite – elle subvient à ses besoins vitaux d'un instant à l'autre, pleinement absorbée dans sa tâche

– elle surveille le bien-être de toutes les autres cellules

– elle s'adapte à la réalité sans résistance ni jugement

– elle puise dans les ressources les plus profondes de l'intelligence naturelle. »

Il paraît tout à fait improbable qu'un simple morceau d'ARN puisse prendre le contrôle de la merveille d'évolution qu'est une cellule humaine

2 - Quelques vérités sur les virus et les bactéries.

Les bactéries, les champignons et les virus sont partout, dans l'air, dans notre nourriture, dans nos muqueuses et pourtant nous ne sommes pas malades en permanence.

Lorsqu'une maladie dite contagieuse apparaît, elle ne touche qu'un faible pourcentage de la population. Cela montre, sans aucun doute, que le microbe n'est pas le seul responsable de la maladie.

Il faut savoir que nous hébergeons tous, en permanence, dans notre corps, de nombreux microbes ; certains sont considérés comme très dangereux comme le streptocoque ou le staphylocoque. Et pourtant, nous ne sommes pas malades en permanence.

Dans un litre d'eau de mer, des recherches ont montré qu'il y a plus de 20 000 espèces de bactéries, et ce n'est pas tout, on trouve également pas moins de 10 milliards de virus d'organismes unicellulaires comme des algues. Etes-vous malade chaque fois que vous allez prendre un bain de mer ?

Pendant longtemps, la médecine dominante a affirmé que les maladies comme le scorbut, la pellagre, le béri-béri étaient causées par des germes. Finalement on a découvert que ces maladies étaient dues à une carence en vitamines.

Concernant la contamination par les microbes, voici un extrait du livre VIRUSMANIA de Torsten Engelbrecht journaliste, Claus Kôhnlein médecin, Samantha Bailey médecin-chercheur, Stefano Scoglio médecin et chercheur :

« Afin de pouvoir mieux évaluer cette curieuse maladie de masse, la grippe espagnole, une tentative de simulation de l'infection a été entreprise avec des volontaires à Boston en novembre 1918. Il s'agissait de 62 marins en bonne santé envoyés en prison pour des faits de délinquance. On leur avait promis une grâce à condition qu'ils participassent à une expérience. 39 d'entre eux n'avaient pas eu la grippe, la théorie était donc qu'ils seraient particulièrement sensibles à l'infection et à la maladie. Mais les résultats ne prouvèrent rien de tel , comme le raconte la journaliste scientifique américaine Gina Kolata dans son livre « Influenza » : « Les médecins de la marine ont recueilli le mucus d'hommes désespérément malades de la grippe, en prélevant d'épaisses sécrétions visqueuses de leur nez et de leur gorge. Ils pulvérisaient le mucus des patients grippés dans le nez et la gorge de certains hommes et le faisaient tomber dans les yeux d'autres. Lors d'une tentative, ils ont prélevé du mucus à l'arrière du nez d'un homme grippé, puis ont directement prélevé le mucus dans la cloison nasale d'un patient et l'ont frotté directement sur la cloison nasale d'un des volontaires. » « Tentant de simuler ce qui se passe naturellement lorsque des personnes sont exposées à des victimes de la grippe, les médecins ont emmené 10 des volontaires dans le service hospitalier où des hommes mourraient de la maladie. Les hommes malades étaient blottis dans leurs lits étroits, brûlants de fièvre, passant du sommeil à la conscience dans un état de délire. Les dix hommes en bonne santé reçurent les consignes suivantes : chacun devait s'approcher du lit d'un malade, se pencher au-dessus de son visage, respirer son haleine fétide et discuter avec lui pendant 5 minutes. Pour s'assurer que l'homme en bonne santé avait été pleinement exposé à la maladie du patient, ce dernier devait expirer profondément pendant que l'homme bien portant inspirait le souffle du malade directement dans ses propres poumons. Enfin le grippé devait tousser 5 fois au visage du volontaire. ». « Chaque volontaire en bonne santé a répété ces actions avec dix patients grippés différents. Chaque patient était gravement malade depuis moins de trois jours, une période pendant laquelle le virus ou l'agent responsable de la grippe devait encore être présent dans son mucus, son nez et ses poumons. » « Mais pas un seul homme en bonne santé ne tomba malade. » « Les scientifiques étaient stupéfaits. Si ces volontaires en bonne santé n'avaient pas été infectés par la grippe malgré les efforts des médecins pour les rendre malades, alors quelle était la cause de cette maladie ? Comment, exactement, les gens avaient-ils attrapé la grippe ? »

TOUS les essais de contamination de personnes en bonne santé, par le virus grippal ou d'autres virus, cités dans la littérature médicale, ont échoué.

D'après les virologues, une personne devient malade quand le virus s'est multiplié dans son corps, c'est à dire quand la charge virale est suffisamment importante pour provoquer la maladie. Si cela est vrai, il doit donc être très facile, à partir d'un prélèvement fait sur le malade, d'isoler et de purifier le virus et ainsi de séquencer son génome complet. A ce jour, le virus appelé SRAS-COV-2 n'a toujours pas été isolé. Et c'est le même constat pour le VIH, le H5N1, le SRAS, le MERS et le virus de l'hépatite C.

Les virus que l'on vous montre ne sont que des images reconstituées par informatique qui ne reflètent pas la vérité.

Le fait que ces virus n'ont pas été isolés et purifiés est d'une importance capitale. Les tests PCR ne peuvent pas être calibrés correctement sur le génome du virus et ils ne sont donc pas adaptés pour détecter le virus. Avec la méthode PCR, on ne peut pas détecter un virus complet, seulement des traces infimes de gènes (ADN ou ARN) sans pouvoir déterminer avec certitude s'ils proviennent d'un virus précis. Les tests PCR ne peuvent donc pas être utilisés pour vous dire si vous êtes malades.

3 – A t'on vraiment découvert le virus SRAS-COV2 ?

Des chercheurs chinois, sur des cellules épithéliales humaines, ont mis en culture des échantillons de fluide broncho-alvéolaire de patients malades du Covid19. Ils ont ensuite fait un séquençage assisté par ordinateur des échantillons ayant montré un effet pathologique sur les cellules. Ainsi, ils ont détecté de l'ARN qu'ils ont attribué au virus SRAS-COV-2, sans aucune preuve sérieuse.

Premier problème : l'effet pathogène est observé sur des cellules cultivées, ce qui n'a rien à voir avec un effet pathogène observé sur un être humain. Le simple fait de mettre des cellules en culture exerce des effets négatifs sur le fonctionnement des cellules, en modifie le génome. En d'autres termes, le test est fait sur des cellules abîmées et stressées qui n'ont plus rien à voir avec une cellule saine.

Barbara McClintock, prix Nobel de médecine 1983 pour sa découverte des éléments génétiques mobiles :

"Certaines réponses au stress sont tout particulièrement significatives pour illustrer combien un génome peut se modifier lorsqu'il est confronté à des conditions inconnues. Les changements induits dans les génomes lorsque les cellules sont retirées de leurs sites normaux et placées dans des milieux de culture de tissus en sont des exemples frappants. "

Deuxième problème : les chercheurs chinois, pour leur recherche du virus SRAS-COV2, ont cherché des séquences génétiques semblables à celles du virus responsable du SRAS de 2003, mais ce virus n'a jamais été isolé ni purifié à partir de prélèvements faits sur des malades. L'isolement d'un morceau d'ARN n'à rien à voir avec l'isolement d'un virus.

C'est une chose d'isoler un petit morceau d'ARN, c'est une autre chose de prouver qu'il appartient à un virus et c'est encore une autre chose, de prouver que ce virus est bien la cause de la maladie. Au vu de la littérature scientifique à ce sujet, il semblerait bien que seule la première étape est vérifiée.

Pour confirmer l'existence du virus, il aurait fallu l'isoler et le purifier et vérifier qu'il est bien responsable de la maladie, directement à partir de prélèvements faits sur des personnes malades de la covid19, ce qui ne devrait pas posé de problèmes particuliers, avec les moyens dont disposent les laboratoires de nos jours. A ce jour, cela n'a pas été fait!!!!!

En fait, les chercheurs ont créé un virus virtuel qu'on ne retrouve jamais dans la réalité, c'est à dire dans les prélèvements faits sur des malades.

C'est à partir d'un virus virtuel qu'on aurait déclenché une panique mondiale.

C'est à partir d'un virus virtuel qu'on aurait créé un test PCR qui n'a donc aucune valeur.

C'est à partir d'un virus virtuel qu'on aurait décidé des mesures liberticides.

C'est à partir d'un virus virtuel qu'on aurait fabriqué des vaccins qui seraient donc totalement inutiles.

C'est à partir d'un virus virtuel qu'on aurait créé une crise sanitaire totalement injustifiée.

Alors, je pose deux questions à tous les virologues :

1 - le virus SRAS-COV-2 a-t-il, oui ou non, été isolé et purifié, son génome a t'il été établi, directement à partir de prélèvements faits sur des malades ?

2 - La responsabilité du virus SRAS-COV-2 dans la maladie appelée covid19 a t'elle été formellement établie ?

En cas de supposée épidémie, il y a toute une démarche scientifique à respecter : l’isolement physique du supposé virus et sa purification au sein des échantillons prélevés sur des malades ayant des symptômes similaires, puis de prouver qu’il est infectieux et provoque les mêmes symptômes de la maladie. S’il ne produit aucun symptôme, on ne peut conclure que cet agent est infectieux. Cette démarche a été mise au point par le célèbre microbiologiste allemand Robert Koch à la fin du XIXe siècle. Lorsqu’on est certain qu’on détient l’agent infectieux, on peut alors mettre sur pied un test de dépistage pour en détecter la présence. C’est une approche de bon sens qui n’a pas été strictement respectée dans le cas du SRASCOV-2.

Les premières victimes chinoises étaient peu nombreuses et présentaient des symptômes de pneumonie atypique. Une pneumonie est dite « atypique » lorsque n’entrent pas en compte les pathogènes classiques de la pneumonie. Les causes de la pneumonie atypique sont en fait très larges et vont bien au-delà de la cause strictement « infectieuse » par virus ou bactérie : inhalation de gaz toxiques, de solvants et autres produits chimiques, troubles immunologiques responsables d’allergies et réactions auto-immunes, ainsi que des œdèmes, des irradiations dues aux traitements contre le cancer, insuffisances cardiaques et rénales provoquant une inflammation. Les symptômes de la pneumonie atypique qu’on attribue au sarscov-2 ne sont en rien spécifiques à ce virus. A-t-on rechercher toutes les causes de cette pneumonie avant de foncer sur la piste virale ? Wuhan, épicentre de l’épidémie est une mégapole de 11 millions d’habitants, une des plus peuplées et des plus polluées au monde. La promiscuité et la sensation d’étouffer y sont particulièrement pénibles. Wuhan est un milieu tout à fait propice pour une supposée épidémie de pneumopathies dues à la pollution. et non pas à un virus.

Force est de constater que les arguments s'accumulent contre la théorie des virus tueurs. Pour enfoncer le clou, regardons ce que l'évolution peut ajouter comme arguments.

4 - Pour une autre vision de l'évolution.

Extraits du livre « Tous entrelacés » de Mr Bapteste Eric, Directeur de recherche au CNRS (à lire absolument):

« Incontestablement, les êtres vivants sont le résultat d'une longue histoire, mélange de stases et de transformations. Mais cette histoire n'est pas seulement celle d'une divergence et d'un remplacement perpétuel des formes de vies antérieures par des successeurs plus heureux. Elle se caractérise surtout par des causes multiples, des relations entre de nombreux acteurs, de séries de courte-échelles évolutives entre lignées. En un mot, c'est une histoire de collectifs, c'est une histoire d'interactions. »

« Les collectifs sont un élément incontournable, récurrent dans le fonctionnement et dans l'évolution du vivant, et ce depuis des milliers d'années. »

« Les partenaires impliqués dans le collectif ayant conduit aux cellules eucaryotes (dont font partie les cellules humaines) telles que nous les connaissons sont une archée, sans aucun doute, une bactérie dont dérive la mitochondrie, et qui sait peut-être encore d'autres contributeurs bactériens cachés. »

« Des recherches démontrent l'influence déterminante des microbes sur le développement des animaux, sur leur résistance aux conditions environnementales, sur leur fonctionnement immunitaire, sur certains de leurs comportements individuels et sociaux ainsi que sur la reproduction. »

« La formation du placenta chez les mammifères découle de l'acquisition de gènes de virus par transferts latéraux. »

« Les animaux sont à la fois animaux et microbes et présentent un grand nombre de caractéristiques morphologiques, physiologiques, comportementales, développementales, écologiques et évolutives non pas purement animales mais coconstruites à l'interface entre ces deux univers biologiques. Un tel collectif associant un organisme animal et ses microbes est désormais connu sous le nom d'holobionte. »

« On pourrait penser qu'il est peu de systèmes biologiques plus intimes, plus singuliers que le système immunitaire de chaque individu, ni de plus importants puisque, suppose t-on de longue date, il permet de combattre les odieux microbes qui nous assaillent. Curieusement, les études sur l'holobionte sont en train de renouveler en profondeur ces deux conceptions pleines d'apparent bon sens. Dune part, le système immunitaire est coconstruit par les microbes ; il n'est donc pas le seul fait d'un organisme animal. D'autre part, sa fonction principale ne serait pas de tenir à l'écart nos ennemis minuscules, mais d'accueillir au mieux nos microscopiques partenaires intérieurs. »

« L'immunité devient ainsi un double problème : une question de défense collective macrobemicrobes et une question d'identité, de maintien d'une équipe qui gagne. L'importance de contrôler les interactions bénéfiques plutôt que de se défendre, serait donc centrale dans l'évolution du système immunitaire inné. »

« Le rôle des microbes symbiotiques dans la prévention des maladies susceptibles d'affecter les animaux, est bien connu. »

« Il semblerait même que les microbes échangent des informations avec le cerveau de leurs hôtes. »

« Quand on regarde les choses d'un peu plus près, aucun organisme animal n'existe sur cette terre sans microbes ni virus. »

« Les microbes ont un rôle majeur dans l'évolution des animaux et donc des hommes. »

Ces extraits du livre « Tous entrelacés » nous donnent un autre regard sur les virus et les bactéries. Ils sont, en fait, des créateurs de vie, des créateurs de biodiversité.

Informations supplémentaires sur les virus et les bactéries :

8% de notre ADN est de l'ARN viral rétro transmis qui s'est intégré dans notre génome.

D'après des estimations sérieuses, nous hébergeons dans et sur notre corps, 100 000 milliards de microbes, dont entre 500 et 2000 espèces de bactéries. Toutefois ce ne sont pas des intrus. Nous évoluons avec ces microbes depuis des millions d'années et aujourd'hui, sans eux, nous serions incapables de digérer sainement notre nourriture, de résister aux maladies ou d'éviter des troubles chroniques allant du diabète au cancer.

On accorde maintenant une grande importance au microbiome. Dune part, les bactéries qui le composent, représentent quelque 90% du nombre total de cellules dans notre corps. D'autre part, l'ADN bactérien a mis des milliards d'années pour s'intégrer à l'ADN humain. On estime que 90% des informations génétiques qui se trouvent en nous sont d'origine bactérienne : nos premiers ancêtres sont des microbes et ils sont toujours présents dans notre structure cellulaire.

Nous pensons être une personne, mais il y a plus de bactéries, de champignons et de virus que de nous-mêmes. En fait, le corps humain est une association de bactéries maintenue en équilibre par le système immunitaire et le cerveau. Cette association s'adapte en permanence à son environnement : les cellules génèrent des micros ARN qu'on appelle virus, pour échanger de l'information entre cellules, entre organismes ou entre espèces.

5 - A propos des vaccins.

Les courbes des épidémies montrent incontestablement que les taux de mortalité par les maladies dites contagieuses ( tuberculose, diphtérie, rougeole, coqueluche, infections pulmonaires) ont sensiblement diminué à partir du milieu du XIXème siècle bien avant l'utilisation des vaccins.

On doit d'avoir fait reculer ces maladies et augmenter l'espérance de vie principalement à l'amélioration du niveau de vie en général (amélioration de l'alimentation, construction des stations d'épuration de l'eau...) qui s'est accélérée dans les pays industrialisés précisément à cette époque.

Ceci explique pourquoi les décès dus aux maladies dites contagieuses sont devenus rares dans les sociétés riches (1% de la mortalité). Dans les régions pauvres du tiers-monde comme l'Afrique où 1 personne sur 3 souffre de malnutrition, ces mêmes maladies sévissent encore.

Pour prouver l'efficacité d'un vaccin, il faudrait faire des études en double aveugle contrôlées par placebo. Malheureusement, pour les vaccins ce n'est jamais fait. En cherchant bien, on trouve quelques études qui ont été faites sur des vaccins, les résultats ne sont jamais en faveur des vaccins.

La collaboration Cochrane est une organisation indépendante réunissant des scientifiques. Ils publient dans la « bibliothèque Cochrane » des méta-analyses réalisées à partir d’études cliniques sélectionnées pour leur qualité.

Le Dr Tom Jefferson, épidémiologiste travaillant pour la Collaboration Cochrane, est l’auteur principal d’une méta-analyse publiée en 2010 (Jefferson t., Cochrane Database Syst Rev, 2010) , concernant le vaccin anti-grippe.

Cette méta-analyse a été intitulée « Il y a peu de preuves accréditant la croyance selon laquelle la vaccination est efficace pour prévenir la grippe chez les adultes en bonne santé. » Pour cette méta-analyse, 40 études cliniques réunissant plus de 70 000 sujets ont été sélectionnées. Le résultat de cette méta-analyse est sans appel . Cette étude montre que la vaccination ne diminue pas le nombre d’hospitalisations, ni le nombre d'arrêts de travail et elle ne réduit pas les complications comme la pneumonie, ni la transmission du virus.

En ce qui concerne les personnes âgées, la conclusion de la Collaboration Cochrane est la même: « On ne dispose pas de preuves solides accréditant la croyance selon laquelle la vaccination est efficace pour prévenir la grippe chez les personnes âgées ». Cela n’a rien de surprenant puisque la capacité à fabriquer des anticorps suite à une vaccination, diminue avec l’âge.

Nous pouvons donc conclure que la vaccination antigrippe n’a pas beaucoup d’intérêt. Mais, en plus de son inefficacité, le vaccin aurait d’autres effets plutôt embêtants. En 2012, une étude randomisée a été publiée dans la revue scientifique Clinical Infectious Diseases . Près de 120 enfants, âgés de 6 à 15 ans ont été répartis en 2 groupes : un groupe vacciné contre la grippe et un groupe placebo. Un suivi de ces enfants pendant 9 mois a montré que le risque d’infections respiratoires causées par des virus autres que le virus grippal, avait augmenté de 440 % dans le groupe vacciné. L’explication la plus plausible serait que le vaccination antigrippe entraînerait une baisse temporaire des défenses naturelles chargées de protéger les enfants contre les autres virus respiratoires.

Une étude scientifique publiée dans The International Journal of Environnemental Research and Public Health, indique que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les enfants vaccinés. Les enfants qui ont reçu au moins 90% des vaccins officiellement recommandés pour leur groupe d'âge avaient 25 fois plus de chances que les non vaccinés de consulter le pédiatre pour un épisode fiévreux. L'étude montre que plus un enfant reçoit de vaccins, plus il a besoin de soins.

Pour mesurer l'efficacité d'un vaccin, on mesure le taux d'anticorps dans le sang de la personne vaccinée. Certes, on trouve des anticorps mais rien ne prouve qu'ils protégeront de la maladie. La vaccination est une agression pour l'organisme qui, bien sûr réagit au vaccin et aux substances diverses qu'il contient, mais rien ne prouve que cela entraîne une protection contre la maladie.

Concernant la vaccination contre le tétanos :

– le tétanos est une maladie non contagieuse. Il ne peut pas y avoir d'épidémie.

– le tétanos est une maladie non immunisante : on ne trouve pas d'anticorps antitétaniques chez un individu guéri du tétanos.

– Le tétanos est une maladie rare et pratiquement inexistante chez les enfants.

A quoi peut donc servir le vaccin contre le tétanos ?

L'efficacité des vaccins n'est absolument pas vérifiée. La propagande faite par les fabricants de vaccins fait croire à tous que c'est une vérité démontrée, ce qui n'est pas du tout le cas.

Si l'on part du principe que les virus et les bactéries ne sont pas responsables des maladies, les vaccins n'ont aucune utilité. Il n'y a aucune raison pour que les vaccins soient obligatoires.

6 - Les causes réelles des " épidémies"

L'évolution a cru bon de garder les mécanismes physiologiques que nous appelons maladies. Ce n'est certainement pas un hasard. Nous pouvons en déduire qu'ils ont une certaine utilité.

Francis Cance, psychologue : " Les virus et les bactéries sont des coexistants et des cohabitants du système de la vie, depuis le début de la phylogenèse ( histoire évolutive des espèces). Je ne crois pas que la vie, qui a fait ses preuves depuis des milliers d'années, soit assez stupide pour se créer des ennemis dans le but de s'autodétruire."

Pour certains chercheurs, les virus, bactéries et champignons ont une fonction. Leur fonction est d'intervenir dans un processus biologique de réparation des dégradations antérieures de l'organisme.

Eric Baptiste, directeur de recherche au CNRS : " La fonction principale du système immunitaire ne serait pas de tenir à l'écart nos ennemis microbes, mais d'accueillir au mieux nos microscopiques partenaires intérieurs."

Nous savons que nous hébergeons en permanence, dans notre corps, de nombreux microbes, dont certains comme le streptocoque, le staphylocoque sont considérés comme dangereux, et pourtant, nous ne sommes pas malades en permanence.

Compte tenu de tout ce qu'on a vu précédemment, pour comprendre les épidémies, il va nous falloir complètement inverser notre point de vue sur les virus et les bactéries et les considérer comme des partenaires et non pas comme des ennemis.

Nous sommes en permanence "contaminés" par les virus et les bactéries, puisqu'ils sont partout dans l'air, l'eau, la nourriture, et ne l'oublions pas nous sommes constitués par ces bactéries et virus. Le problème n'est pas la contamination, mais l'état de santé de la personne contaminée et l'état de son système immunitaire.

« Quand on étudie de près la progression d'une maladie, en particulier les processus dits infectieux, les dommages à l'organisme se produisent au début, ce n'est qu'après que l'activité bactérienne commence. Si nous endommageons notre muqueuse respiratoire par hypothermie, alors apparaissent ces bactéries qui, selon l'intensité et la durée de l'hypothermie, ainsi que l'état de l'individu affecté, peuvent décomposer les cellules affectées et conduire à l'expulsion, au rhume. »Johann Loibner, médecin généraliste.

Le système immunitaire et le cerveau utilise les virus et certaines bactéries, uniquement en cas de besoin, quand il y a des réparations à faire. Les maladies dites infectieuses sont en fait des mécanismes physiologiques destinés à réparer les dégâts dans un organisme, c'est pourquoi l'évolution a préservé ces mécanismes.

Les cellules du corps peuvent produire des micros ARN appelés virus, de leur propre chef, par exemple en réaction à des facteurs de stress. Les experts l'ont découvert il y a longtemps, ils parlent de virus endogènes, c'est à dire des particules qui se forment à l'intérieur du corps via les cellules elles-mêmes.

Des recherches sur les effets du stress ont montré que les changements épigénétiques engendrés par le stress étaient liés à ce que l'on appelle les micro-ARN, qui sont de minuscules segments d'ARN constitués à partir du génome et qui régulent ensuite l'activité génique.

Le microbiome a pour principale fonction la digestion, mais il a également un effet important sur les hormones, l'immunité, la réponse au stress et l'inflammation chronique.

Si nous sommes en bonne santé physique et psychique, c'est à dire en homéostasie, nous n'avons rien à craindre des virus et bactéries. Ils seront accueillis par le système immunitaire qui va gérer la symbiose macrobes-microbes. Le système immunitaire utilisera les virus et bactéries à bon escient. Ceci explique les nombreux porteurs sains asymptomatiques. Ceci explique l'échec de toutes les tentatives de contamination directe de personnes en bonne santé. Enfin, ceci explique l'inutilité et l'inefficacité des vaccins.

On comprend aussi pourquoi des études montrent le peu d'efficacité des mesures de confinement et du port du masque obligatoire sur le déroulement d'une épidémie. En changeant simplement notre point de vue, tout devient clair.

La maladie apparaît lorsqu'il y a rupture de l'homéostasie. Nous sommes les seuls responsables de nos maladies. Les causes de rupture de l'homéostasie sont nombreuses :

- Pollution atmosphérique

- Pollution de l'eau

- Pollution de la terre

- Sous-alimentation ou alimentation de mauvaise qualité

- Manque d'exercice physique

- Manque de sommeil réparateur

- Carence en certains nutriments ( vitamine D, vitamine C, zinc...)

- La vieillesse (accumulation de toxines et de molécules toxiques dans le corps).

- A cela il faut ajouter, et c'est très important, bien que totalement négligé par la médecine conventionnelle, tous les facteurs de stress psychique comme les guerres, les agressions, les injustices, la privation de liberté, les frustrations, les conflits au travail, les conflits familiaux, les conflits affectifs, le manque d'argent, le manque de reconnaissance, le manque de considération, toutes les peurs fondées ou non, les chocs psychologiques comme le décès d'un proche.

Tous ces facteurs de stress ont un impact terrible sur notre organisme et sur le fonctionnement cellulaire.

Il a été montré qu'un petit-déjeuner pris dans un fast-food provoquait une inflammation, à l'inverse d'un petit-déjeuner riche en fibres et en fruits. On sait également que le système immunitaire est affecté par une faible inflammation chronique.

Dans son livre »The contagion myth – why viruses ( including « coronavirus ») are not the cause of disease » le Dr Thomas Cowan affirme :

« Pour toutes les maladies infectieuses bactériennes connues, la science pointe du doigt d'autres explications exactes – notamment la famine et la pollution. Toutefois le microscope électronique donna aux scientifiques la capacité de trouver des germes sur les sites de la maladie (…) et de leur fournir une explication toute prête et facile pour la maladie – qui évitait le travail plus difficile et moins rentable de nettoyer les villes, améliorer l'alimentation, diminuer la pauvreté et réduire la pollution. »

La mortalité élevée due au coronavirus est liée à la vieillesse, à notre mode de vie, aux mesures prises pour limiter l'épidémie et à l'hystérie médiatico-politico-scientifique.

La maltraitance infligée aux personnes âgées est un exemple frappant de cause de décès.

Début mai 2021, le Dr Yoann Maarravi, Directeur du service de rééducation gériatrique du CHU Hadassah à Jérusalem a lancé une alerte auprès des autorités. Il a constaté un vieillissement accéléré inquiétant chez ses patients à cause du confinement. Dans son service, les patients sains et indépendants perdent à une vitesse folle leurs capacités mentales, leur mobilité et leur autonomie.

" Le confinement a réduit le fonctionnement physique et cognitif de nombreuses personnes âgées, accélérant le processus de déclin d'une manière inhabituelle et inquiétante." a-t-il expliqué au journal Times of Israël.

Depuis un an, nous sommes soumis à une maltraitance totalement injustifiée, maltraitance qui génère un énorme stress qui engendre tout un ensemble de dysfonctionnements des cellules et du système immunitaire. L'état mental d'un bon quart de la population est catastrophique.

Concernant le confinement, on sait maintenant qu'il est totalement inutile :

La présence ou l’absence de confinement face au virus SARS-CoV-2 n’est pas corrélée à la trajectoire de la maladie. Il existe 33 études dans le monde entier qui le montrent. L'exemple des États-Unis est très probant :

la prévalence de la Covid19 dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert, la Californie fermée et la Floride ouverte ont des taux de mortalité similaires. La Suède, qui est restée ouverte, a obtenu de meilleurs résultats que la plupart des pays européens.

Un mot sur la grippe espagnole, " l'épidémie " citée en exemple par tous les virologues :

La grippe espagnole a été dramatique, Les décès massifs se sont produits à la fin de la première guerre mondiale, à une époque où d'innombrables personnes étaient sous-alimentées et soumises à un stress incroyable après 4 ans de guerre, beaucoup ayant eu un ou des décès à déplorer dans leu entourage familial. Chez de très nombreuses personnes, l'homéostasie était rompue. Les organismes étaient mis à rude épreuve, ce qui nécessitait l'intervention des virus et bactéries, d'où l'épidémie, pour réparer les dégâts, mais comme beaucoup de personnes étaient très faibles, elles n'ont pas eu l'énergie suffisante pour supporter cela et en sont décédées.

7 - Conclusion

Suivant la croyance aux méchants virus et bactéries, la médecine conventionnelle en arrive à utiliser la maltraitance de la population comme solution pour stopper une "épidémie", la grande majorité de la population accepte cette maltraitance, sans réagir, sans même se demander si tout cela est justifié. Nous en arrivons à en accepter que beaucoup de nos libertés soient piétinées sans vergogne.

« La peur est un business. Instiller la peur aux gens a aussi des avantages, pas seulement en terme de consommation de médicaments et de vaccins. Les personnes mues par l'anxiété sont plus faciles à diriger. » Gerd Gigerenzer, directeur émérite de l'Institut Max Planck pour la recherche en science de l'éducation.

Quand allons-nous nous réveiller ?

L'être humain a une conception de la vie totalement erronée, celle qui consiste à croire que la vie est une éternelle lutte pour faire sa place au soleil, au besoin en écrasant les autres. Or, si on regarde l'évolution de la vie, elle se fait par coopération, par symbiose, par partenariat, par solidarité.

Le corps humain en est un magnifique exemple. Il nous faut changer de paradigme et passer de la compétition à la coopération, à l'entraide, à la solidarité, à la réduction des inégalités, à une juste répartition des richesses.

Nous disposons d'une intelligence, d'une conscience, ce qui nous permet de réfléchir avant d'agir, pour mesurer les conséquences de ce que nous faisons. Malgré cela, nous sommes devenus l'espèce la plus nuisible sur la terre. Continuons ainsi et nous allons droit dans le mur.

Derrière la belle façade des avancées technologiques se cache une grande pauvreté spirituelle.

La vie n'est pas que matérielle, elle est aussi et surtout spirituelle. Tout commence par l'esprit. Nos croyances déterminent nos émotions qui ont une influence énorme sur notre vie et notre santé. Notre vie est déterminée par nos croyances, vraies ou fausses.


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Ce livre écrit par Dominique Blot, Docteur en pharmacie, parle de la gestion catastrophique de la crise sanitaire, du rôle de nos croyances dans notre vie, de la démocratie menacée par un autoritarism

Notre monde va mal, c'est une certitude, mais ce n'est pas une raison pour baisser les bras, pour se taire, bien au contraire. Nous devons faire entendre notre voix. Chaque voix, de n'importe quel end

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